Le léger zoom présent sur le Criterion et le Arte disparait sur l'édition Wild Side permettant de découvrir quelques millimètres de plus de chaque côté de l'image ce qui n'est pas négligeable, surtout dans certaines scènes. L'image est plus claire chez Wild Side mais garde une tenue exemplaire, libérant de nombreux détails, mais atténuant en contrepartie un brin de l'ambiance sombre du film. Un très léger voile blanchâtre apparaît sur le master wild side, notamment sur les visages en scène intérieure, mais cela reste anecdotique comparé au contraste trop élevé du Arte qui laisse apparaître des blancs clairement surexposés et des noirs trop opaques. Les points forts du master wild side sont sa définition et son équilibre. De nombreux éléments de décors apparaissent en détail, notamment à l'intérieur du chateau. Même si le Wild side peu sembler dès lors trop clair, sa netteté est plus convaincante que le flou et le trop fort contraste du Arte. De plus, le léger voile verdâtre de l'édition Arte disparaît. Au final, Wild Side marque un point livrant un master très propre, peut-être trop clair mais gagnant sur tous les autres points, notamment sa définition, sa compression, ses détails et son format respecté, plus large que le Arte et le Criterion. Les captures ci-dessous sont tirés du format original du support. | |||||||||
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