Rien de nouveau sous le soleil mais agréable tout de même
Almost Love est le second film de Lee Han après le sublime Lover's Concerto. Almost Love se veut au final plus positif que son prédécesseur qui est fortement déconseillé aux personnes dépressives. Passées la première partie du film, assez drôle il faut l'avouer, malgré quelques longueurs au niveau de la "romance", le film prend une tournure dramatique vraiment inattendue. Une 2e partie un poil trop larmoyante mais qui a le mérite de nous faire sortir de l'ennui profond que le film commençait à générer. L'effet de surprise et ce qui s'en suit m'a plutôt laissé une bonne impression, peut-être même plus encore que la première partie du film. Ça pourra en dérouter plus d'un, par contre...
Bref, Almost Love ne fait pas avancer le schmilblick, il n'apporte rien de nouveau au genre, mais peu importe. Il se laisse voir, c'est tout ce qui compte.
Pas mal mais...
Nous avous ici droit avec Almost Love, à une bonne petite comédie romance, comme les coréens les fonts par paquets de 10. Une histoire somme toute assez banale, et qui malheureusement ennuie de temps à autre, malgré quelques bonnes scènes humoristique ou captivantes.
On aurait aimé à peu plus de rebondissement, être un peu plus surpris par le film. Mais malheureusement, le film tourne, sans véritable magie. Même si quelques scènes attirent de temps en temps notre attention. Un film pas mauvais donc, mais qui ne vas pas très haut.
Un film presque sympatique, mais trop ennuyeux à mon goût...
Histoire (peu) commune
Second long-métrage de LEE Han après son précédent "Lover's Concerto", il continue à oeuvrer dans la comédie romantique (dramatique). Semblable à son précédent effort, le film est construit en deux parties distinctes, dont la première présente avec drôlesse les personnages principaux avant de faire intervenir un drame (inattendu) dans la seconde partie.
Si le début charme autant par la bonne humeur ambiante, que par de véritables idées de mise en scène (vive les parodies de films de kung fu et des sentai eiga !), la suite verse dans un pathos un brin trop facile. Finalement, il n'y aurait pas eu besoin d'imaginer telle "catastrophe" pour rapprocher les deux tourtereaux que tout désignait de toute manière à se retrouver.
Dans les rôles principaux, KIM Ha-neul paraît un peu trop âgée par rapport à son personnage, alors que KWON Sang-woo fait preuve d'une forme olympique physique, qu'il mettra en valeur dans son rôle à parfait contre-emploi dans le nihiliste "Running Wild".
Une comédie pleine de charme, plombé par une seconde partie inutilement larmoyante. Dommage pour la fraîcheur et originalité de la première partie...
