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2.32/5
Un Tueur pour Cible
les avis de Cinemasie
11 critiques: 1.8/5
vos avis
33 critiques: 2.3/5
On a vu pire...
Classique dans sa réalisation comme dans son scénario, "Un Tueur pour Cible" tient quand même assez bien la route. On se laisse prendre par l'histoire... et les scènes d'action sont assez bien menées...
Un bon moment sans se prendre la tête.
SUPER TRAILER QUI BUTTE !
All over the world, the laws of physics are the same.
For every action, there's an equal...
REACTION !
He is a dangerous man in a dangerous world,
Where the fastest way to die is to refuse…
TO KILL ! !
BLAM BLAM VROOM VROOM RATATATATA ! !
From executive producer John Woo ;
RATATATA !
With International action star Chow Yun Fââât
KABLAM !
... and acadamy award winner Mira Sorvinôôôô
VROOOOM !
GO GO GO ! !
GO GO GO ! !
GO GO GO ! !
« The replacement…
BLAM BLAM BLAM RATATATA!!
KILLERS ! ! ! »
...
Ok, la bande annonce est mieux que le film qui au final ne pisse pas très loin. Mais ça flingue à tout va, Danny Trejo nous montre sa sale gueule, la photo est classe et Antoine Fuqua, quoi qu’on en dise, est un excellent faiseur. Même un peu plus que ça si vous revoyez le director’s cut du Roi Arthur. Et puis Mira Sorvino (soupir...)
Bon…
GO GO GO!!
GO GO GO!!
mais que diable allait il faire...
Ok, si CYF s'y est colle c'est bien sur pour se faire connaitre aux states avec Jonh Woo comme laisse-passer. Heureusement CYF est fidele a lui-meme et en met plein l'ecran. Mais les gunsfights manquent d'envergure, le cadrage est trop souvent etrique et la realisation souffre d'un manque de rythme certain notamment dans les scenes de transition entre les combats.
Si l'on compare avec les premieres americaines de Jet Li par exemple, je trouve que Jet s'en sort plutot mieux. L'arme fatale et Romeo must die le placent dans un contexte purement americain avec les melting pots black, asian et Wasp au milieu de quoi son jeu arrive a s'imposer et dynamise le genre. Avec un tueur pour cible, on reste dans un contexte purement asiatique simplement exporte sans confrontation des cultures. Le personnage de CYF n'en sort pas plus riche que si l'intrigue s'etait passee a HK. Si on doit comparer ce film, il faut le comparer aux standard HK et la bonjour les degats, à la difference de Jet Li dont les films US sont fondamentalement differents des HK et difficilement comparables.
Je ne voudrais pas trop descendre ce film qui reste plein de bonne volonte, mais qui reste un peu leger et surtout trop aseptise par rapport a ce que l'on a deja vu, sans aller jusqu'a dire que la mise en scene de Fuqua est a chier (desole, ce n'est pas de tres bon gout mais je n'ai pas pu resister...)
J'espere au moins que CYF aura pris du plaisir a cotoyer Mira Sorvino pour se consoler de ce voyage aux states.
Ouhla, c'est pas bien de copier!
J'ai beau faire des efforts, je ne peux pas m'empêcher de vomir ce film par tous les orifices (vive la délicatesse :-). Antoine Fuqua se fout du monde en reprenant à son nom les icônes sacrées de John Woo, à commencer par l'emblématique Chow Yun-Fat (méconnaissable tellement il est transparent) ou encore quelques scènes clés (les piafs blancs, la balle dans le dos retirée à la pince)... Qu'on ne me parle pas d'hommage, pour moi c'est du pillage pur et simple. Sans compter que les scènes d'action sont moches et l'intrigue plus mince qu'une feuille de papier. Consacrez votre temps à autre chose, allez vous balader (même sous la pluie), faites tout ce que vous voulez, mais surtout évitez cette chose infâme.
Film hommage aux gunfights de John Woo, réussi sans être génial
Autant chinois qu'américain, Un Tueur Pour Cible rappelle Desperado, dans un style chinois à la place de mexicain. D'abord par la rencontre des cultures, ensuite et surtout par le fait que même si le film n'apporte pas grand-chose au cinéma, c'est tout de même un très bon divertissement pour les fans de gunfights.
En effet, Un Tueur Pour Cible n'apporte rien au genre et en reprend tous les grands classiques. Le scénario est un mélange assez moyen de tous les personnages et situations classiques des films chinois et surtout de John Woo. Cela aurait pu être intéressant si les personnages avaient été développés, ce qui n'est pas le cas. Mais que voulez-vous, on ne peut pas demander non plus un Killer tous les deux mois. On a tout de même évité la scène de sexe gratuite en plein milieu d'une chasse à l'homme .
Cependant, le film est loin de ridiculiser le genre, puisque c'est avant tout un hommage. Les références sont nombreuses et très plaisantes pour les connaisseurs : John Lee fait tout de suite penser à Jeff du Killer, avec son sens de l'honneur. Sa relation avec le flic rappelle aussi le Killer, même si elle est trop peu développée. Certains plans sont même copiés-collés toujours avec le Killer, comme le changement de mise au point du visage au bout du canon avec le coup de feu.
Ce qui est plus intéressant est de voir que Fuqua a tout de même réussi à insuffler un petit peu de son style propre dans le film. On peut donc le considérer comme mi-chinois mi-américain, à la croisée des cultures. Les gunfights sont plutôt bons, et cela est préférable pour un film dont c'est l'un des seuls intérêts. Certains plans soulignent tout le talent visuel de Fuqua, comme les è où Meg et Johnny intervertissent leurs cibles, la lancée de menottes en l'air avec pivot autour du tireur, ainsi que la magnifique scène où Johnny avance et tire sur une voiture en flinguant à droite et à gauche. Du très bon travail.
Terminons sur le casting: avec Chow Yun Fat et Mira Sorvino, on est loin des acteurs de série B qui auraient pu prendre les rôles. Dieu vivant du gunfight, Chow Yun Fat hérite d'un rôle qu'il connait bien, mais que sa connaissance limitée de l'anglais a réduit au niveau des dialogues. Mais quel plaisir de le revoir dans un gunfight. Sa partenaire est elle aussi très à l'aise dans un rôle guère plus intéressant. Mais ce n'est pas vraiment ce que l'on demande au film.
John Woo pour les nuls
Le film est plombé par un script et des gunfights paresseux au possible, un casting fort sympathique mais sous employé, un manque d'émotion patent et des relations entre personnages creux.
La mise en scène propre et lisible ainsi qu'un un rythme tout juste correct sauve à peine l'ensemble.
Chow Yun-fat est égal à lui-même sans qu'il puisse, néanmoins, faire de miracle d'un projet trop bancal uniquement voué à son entreprise, vaine, de rendre hommage/copier John Woo.
16 décembre 2021
par
A-b-a
Thriller McDo
Quand Chow Yun-Fat cachetonne dans un thriller d'action convenu et insipide, sauve-qui-peut ! Enfin, pas tant que ça quand même, l'acteur réalisant l'exploit de recouvrer la classe inouïe qui l'avait déifié à l'époque de
The Killer. Tout ceci sans pouvoir compter sur ce bien pâle mélange de courses-poursuites mollasses, de gunfights aseptisés et de répliques sentencieuses qu'un scénario mince comme du papier à cigarette et des seconds rôles transparents (et Dieu sait pourtant si Michael Rooker peut faire des étincelles lorsqu'il le veut) ne tirent pas vers le haut. On signalera tout de même une photo assez léchée qui pourra faire passer la pilule aux yeux des cinéphiles regardants sur la technique.
Pauvre Chow Yun Fat
Ce film est d'une prétention sans nom. Du genre "
Oubliez tout ce vous avez déjà vu auparavant. Car nous les américains allons vous montrer le vrai style Chow Yun Fat. Vous verrez que grâce à nous il sera une star".
Pathétique.
Allez, ouais, c'est bien parceque c'est toi!
Malgré ses défaults et ils sont nombreux (personnages bidons, séquences vues et revues, clichés à la pelle), on ne peut pas dire que ce film soit foncièrement mal fait ou complêtement raté. Antoine Fuqua est un bon bougre, qui sait réaliser avec punch et rigueur (même lorsqu'il plagie). Du coup, ca ne passe pas trop mal, comme film de fin de soirée, pour se laver le cerveau, c'est franchement pas pire que Blade.
Correct
Film agréable qui ne révolutionne rien mais qui se laisse regarder : moment de détente sympathique.
PAS DE QUOI SAUTER DE JOIE... MAIS BON...
Cela reste correct malgré un scénario TRES conventionnel et des scènes pas forcement transcendantales mais bon, cela ce laisse regarder. Au moins une fois...
Un navet, qui, au lieu de rendre hommage au cinéma asiatique, lui fait honte.
Je ne m'attarderai pas sur ce film, tant il est dépourvu d'émotion et de profondeur. Il est purement commercial et ne s'appuie uniquement que sur l'interprétation de Chow Yun Fat, mais celui s'étant très mal expatrié, est très en dessous de tout ce qu'il a pu faire à Honk-Kong lors de son époque glorieuse avec John Woo.
Ce film ne présente aucun intérêt et est donc vivement déconseillé.
c pas si mauvais...
ce film est encore bien je trouve, on a vus pire (yakuzas contre triades ) ce film tiens la route, ceux qui donnent une mauvaise note a ce film (c leur droit le plus strict) je sais pas ce qu'ils vont faire apres avoir vu chow yun fat dans "bulletproof monk" car la c'est la cata. a coté de "bullet proof monk" "un tueur pour cible" est un chef d'oeuvre (j'exagere a peine).
Un peu maladroit mais sympa
Le film rempli plutôt bien son contrat : divertir. Ca n'arrête pas dés que Chow a sorti son flingue, ça défouraille un peu partout, l'ensemble assaisonné de clins d'oeil/hommages aux succès de Fat et surtout de John Woo ("The Killer" surtout), avec une musique qui rythme bien (là encore c'est une question de goût) et des effets visuels intéressants (bien qu'un peu brouillons quelques fois).
Malgré tout c'est vrai que le scénario n'est pas trop recherché, que le film a quelques faiblesses et que le personnage de John Lee est similaire à celui de Jeff dans "The Killer", mais bon c'est vite oublier devant les belles jambes d'une Mira Sorvino qui a la chemise ouverte et le soutien-gorge à l'air les 3/4 du film lol ;) A voir
Un gunfight "MADE IN USA" assez sympathique tout de meme
Un Chow yun-fat qui s'en sort bien pour son premier film US , faut dire aussi qu'il n'a pas vraiment eu l'occassion de nous montrer ses talents d'acteurs ( hormis les habituelles scene de gunfight ) .
Mira Sorvino la partenaire de Chow yun-fat remplie assez bien son role .
Bref un film tres sympa qui rend plus ou moins hommage aux classiques de john woo .
A éviter
Purement commercial. Le film joue sur la classe de chow yun fat dont le personnage manque cruellement de profondeur, ce qui nuit également aux scènes d'actions.
Film avec de jolis gufights, mais avec un scénario vraiment vide.
Ce film si on ne s'en tient qu'aux gunfights est vraiment très bien maîtrisé, ceux-ci sont nombreux et vraiment très réussi. On voit bien que Fuqua connaît bien les classiques du maître Woo.
Mais là où le film coince, c'est au niveau du scénario, celui-ci est d'un trop grand classicisme et trop simpliste, même si celui-ci porte assez bien le film. Le manque de profondeur de l'histoire et des personnages principaux, ainsi que la prévisibilité de toutes les scènes font que l'on est jamais pris dans ce film comme on pouvait l'être avec les films de John Woo.
Néanmoins personnellement, je ne regrette pas trop d'avoir regardé ce film ne serait-ce que par la bonne réalisation des scènes d'actions et surtout par le plaisir de revoir le dieu des gunfights (je veux bien-sûr parler du grandiose Chow Yun Fat) avec un flingue dans chaque main comme à sa grande époque. C'est un film que je conseillerez uniquement aux amateurs de film d'action, car mis à part les gunfights, le film est vraiment vide.
Produit.
Il y a un indice intéressant, dans ce film, qui apparaît dès le générique : il s'agit d'une production (discrète) de Woo - organisée exprès pour servir de carte de visite US à Chow Yun-fat. Il ne s'agit donc pas tellement d'un hommage qu'une autre de ces tentatives de subvertir le mode de fonctionnement du cinéma hollywoodien de l'intérieur. Politique avant d'être cinématographique, The Replacement Killer jouit cependant du délié sensuel qui est la signature copiée de Woo. C'est déjà ça.
Un tueur bien pâlot. Pourtant Chow Yun Fat avait bien déclaré qu'il ne voyait pas l'intérêt de tourner dans un remake hollywoodien de "The Killer" et qu'il ne le ferait pas. Mais alors pourquoi l'a t-il finalement fait???? POURQUOI?????