Du grand art
Si la récente carrière de Jet Li à Hollywood est pour l’instant loin d’être une réussite du point de vue qualitatif, elle aura au moins eu le mérite de faire ressortir au grand jour les chefs d’œuvres auxquels il a contribué dans le milieu des années 90 : sortie en DVD de Il était une fois en Chine 1 & 2, sortie ciné de Fist of Legend (août 2001) et maintenant Tai Chi Master, qui date de 1993 tout de même. Et à la vue de cette petite merveille de film de kung-fu, on se dit qu’il est sacrément dommage qu’il ait fallu attendre 9 ans avant qu’il nous parvienne en France, et encore, pour la raison qu’on sait…
Dans Tai Chi Master, Yuen Woo-Ping brasse intelligemment plusieurs genres différents : il puise dans la production hong-kongaise des années 70 en le faisant débuter au temple légendaire de Shaolin, mais propose un spectacle bien plus impressionnant et plus violent que d’ordinaire avec ces combats sanglants en apesanteur que permet le perfectionnement des câbles de traction, rendant l’œuvre presque aussi sauvage que The Blade de Tsui Hark. Cependant Yuen ne s’arrête pas là : il n’hésite pas à s’inspirer du Ran de Kurosawa en reprenant et en détournant à sa manière les costumes, les lieux, la figure mythique du roi fou aux cheveux blancs, ainsi que différents thèmes : l’ambition, la fraternité ou la place des femmes dans la société.
Bien que l’intrigue ne casse pas des briques, elle est suffisamment creusée et portée par ses thèmes pour satisfaire le spectateur, d’autant plus qu’elle permet le développement de scènes d’action très fréquentes, très variées et superbement filmées. La batterie d’artistes martiaux célèbres et talentueux (Jet Li, Michelle Yeoh) ravit l’œil à chaque instant et, comble du bonheur, l’humour qui parsème le film fonctionne à merveille. Seul gros reproche, les distributeurs français n’ont pas jugé utile de sous-titrer les noms chinois des génériques ; et ne pas voir afficher les noms de Yuen Woo-Ping ou Jet Li à l’écran, c’est plus que frustrant, c’est proprement scandaleux !
Oubliez la stratégie marketing, cela n'empêche pas Tai chi master d'être un must.
Le spectacle est variée, rythmé, aérien, inventif grâce à Yuen woo ping qui montre sa maîtrise à filmer les combats (moins à réaliser). De la grande chorégraphie.
Jet Li et son frère de sang/ennemi juré sont juste convaincants, caricaturaux mais habités : l’un tout de bonté et l’autre d’un sadisme à toute épreuve.
Michelle Yeoh éblouit l’écran et nous montre qu’elle est loin d’une débutante.
L’histoire est classique mais efficace, et le rythme général est très bon, à part les passages humoristiques assez mauvais. En effet, Jet pète un câble au 2/3 du film (découvrant que son ancien frère est devenu une crapule) et se la joue Jackie Chan en faisant le débile, un passage qui pourra en rebuter plus d’un, du fait que jet li n'est pas vraiment une force comique, mais à l’issue, il découvrira la source du Taï chi, un passage assez marrant.
Un très bon spectacle martial avant tout, superbement chorégraphié et joué par un trio de choc. Par contre la photo est typiquement mauvaise, fade voir grisâtre.
Presque aussi bon que Fist of Legend
Si j'excepte une petite réserve pour certaines longueurs, le film est du même niveau que fist of legend en ce qui concerne les combats. Avec ses deux films ont peut avoir un aperçu de l'étendue des qualités martiales de Jet Li. Ici aussi on a certaines des meilleurs scènes de combats qui ont été tournées (final énooooorme).
09 février 2003
par
jeffy
Très bon wire-fu, même si légèrement en retrait par rapport aux meilleurs du genre
Tai-Chi Master n'est pas un film très difficile à critiquer. C'est un excellent film de Kung-fu pour qui aime les combats câblés. On lui trouve les qualités et les défauts habituels. Scénario léger, bons combats, mélange des genres, etc... Allons-y un peu plus en détail.
Le sans faute se situe au niveau du casting. En effet, Chin Siu-Ho, Jet Li, Michelle Yeoh, ça parle tout seul. Le premier n'est certes pas très connu, mais les spécialistes l'apprécient toujours, c'est un second couteau de qualité. Ses capacités martiales sont toujours bienvenues. Comme face à lui (ou à ses côtés selon le moment du film) on trouve Jet Li, la qualité des combats est garantie. Jet Li interprète évidemment le gentil, il ne sait pas trop quoi faire d'autre. C'est un personnage (trop) classique pour lui, naïf, gentil, humble mais ferme lorsque le destin le frappe. Chin Siu-Ho interprète à nouveau (après Fist of Legend) un personnage plus nuancé. Reste le cas de Michelle Yeoh, qui fait un peu cheveu au milieu de la soupe. Son rôle ne fait pas vraiment avancer l'histoire, c'est dommage. Seules ses capacités martiales sont mises en avant ici. Le reste du casting joue assez bien son rôle, càd avec beaucoup de surjeu nécessaire pour la partie comédie.
C'est justement cette partie comédie qui m'a un peu déçu, son intégration n'est pas aussi réussie que dans un film comme Iron Monkey du même Yuen Woo-Ping. Vous allez me dire que je place la barre très haut, mais avec cette équipe on peut être ambitieux. Ici la partie "Jet Li neuneu" passe moins bien, déjà parce que Jet n'est pas le meilleur acteur comique du monde, ensuite car elle plombe un peu le rythme du film. Certains gags sont également un peu lourds, d'autres passent mieux.
La partie action ne déçoit pas par contre. Il y a beaucoup de combats dans Tai chi Master, des combats longs et variés comme on les aime. De plus, le film ne s'en refuse aucun. A chaque fois qu'on pourrait éviter un combat par une astuce maintes fois utilisée (blablatage, fuite, etc...), et bien non, on y repart, on se refracasse la tête pendant 10 minutes. Ca on aime. A tel point que l'intermède comédie du film arrive assez mal après un sacré début de film. On repart ensuite comme en 40 en distribuant de la mandale jusqu'au final. La variété des combats empêche la lassitude, même si le combat de Michelle Yeoh contre l'eunuque aurait mérité un meilleur masquage des câbles. Sinon l'introduction du Tai Chi dans le style de Jet Li apporte de la fraicheur aux styles proposés, et on s'étonne de voir autant de violence très visuelle (empalement notamment) alors que le film sait être très puéril à d'autres moments. Bref, aucune censure ici.
L'ensemble est emballé correctement, même si cela sent bon la production à la chaîne. Yuen Woo-Ping n'a pas chômé cette année-là, en participant à au moins 5 films. La photographie manque un peu de punch, mais cela vient peut-être aussi de la mauvaise conservation de la bobine. La musique sent bon la copie du thème de Wong Fei-Hong et donc déçoit. La réalisation en elle-même n'a rien de génial, Yuen Woo-Ping n'a jamais été un grand réalisateur. Mais il sait filmer des combats, qui constituent la majeure partie du film. C'est bien ce qu'on lui demande.
Tai Chi Master ne fait donc pas partie du peloton de tête des films martiaux des années 90, mais il se positionne aisément dans le groupe suivant des divertissements de grande qualité.
Du trés bon spectacle
Le cinéma de Hong-Kong fait encore parler de lui puisque après Fist of Legend, c’est à Taï-Chi Master de connaître la joie d’une sortie nationale dans nos salles (Janvier 2002). Et comme on ne change pas une formule qui gagne, nous retrouvons l’incontournable Yuen Woo-Ping à la réalisation et l’invincible Jet Lee comme interprète. Et avec la présence supplémentaire de Michelle Yeoh dans le casting, Taï-Chi Master possède tous les attributs pour attirer un large public. Une bonne occasion pour en faire une tardive critique.
Chose improbable il y a seulement deux ans, le genre “ kung-fu movie ” est en passe de s’installer durablement dans le paysage cinématographique mondial. Yuen Woo-Ping est l’un des premiers artisans de ce succès, en tant que chorégraphe d’abord mais également comme réalisateur. Fort d’un parcours qui compte à son actif presque une trentaine de films, il est non seulement à la base de la (re)considération cinématographique (si ce n’est artistique) des arts martiaux dans le cinéma populaire occidental, mais aussi du regain d’intérêt des distributeurs pour les œuvres estampillées “ kung-fu ” en provenance de Hong-Kong.
Chorégraphe polymorphe et doué d’une grande capacité d’adaptation, Woo-Ping cultive également un sens du spectaculaire dont l’inspiration se tient à la croisée des traditions martiales, de l’Opéra chinois, du manga (pour le découpage) et des jeux vidéo. L’industrie hongkongaise lui doit ainsi, au cours de ces 20 dernières années, quelques unes de ses perles en matière de cinéma d’action et d’arts martiaux. Fist of Legend, Iron Monkey et Taï Chi Master ont tous été réalisés dans la première moitié des années 90, en pleine vague “ revival ” des films d’arts martiaux, une période très faste pour Yuen Woo-Ping qui enchaînait alors les tournages à un rythme effréné, alternant le bon et le moins bon au gré de ses associations.
On dit de lui qu’il n’est jamais aussi bon que lorsque son savoir-faire est au service de la vision d’un autre. Ainsi la majorité de ses succès sont le fruit d’une collaboration dans le domaine de la création et Taï Chi Master semble être l’exception qui confirme la règle. Sans égaler la référence du maître en la matière, Iron Monkey tourné cette même année 93 (Woo Ping réalise 5 films cette année là !), ce film sort du lot grâce à ses premiers rôles charismatiques et aux nombreuses scènes de combat plus spectaculaires les unes que les autres.
L’association Jet Lee/ Michelle Yeoh fonctionne parfaitement dès que la narration entre dans le champ de la chorégraphie, mais manque de consistance dramatique le reste du temps, le personnage de Chiu Lin (M. Yeoh) ne trouvant pas une juste place dans la relation des “ frères ennemis ”. Il est regrettable que Woo-Ping n’ait pas exploité plus profondément le potentiel que représentait ce couple, le rôle de M. Yeoh se réduisant dès lors à un long “ caméo ”. Ceci dit, il ne faudrait pas pour autant bouder notre plaisir car l’actrice de Tigre et Dragon fournit son lot de moments de bravoure, notamment lors d’un combat au sabre qui laisse loin derrière ses prestations dans le film de .
La tension dramatique est ainsi tout entière concentrée dans la relation de Junbao et Tianbao, et dans l’antagonisme croissant qui s’installe entre eux. Malgré un scénario relativement prévisible, la prestation de Chin Siu-Ho est assez convaincante pour donner le change à Jet Lee, notamment dans les scènes d’action où il fait preuve d’une réelle présence, son style de combat restituant parfaitement le caractère maladivement ambitieux, brutal et sans scrupules de son personnage. Ce qui n’est pas plus mal, vu le manque d’épaisseur de , incarné par Jet Lee, coincé entre des scènes d’humour pas toujours heureuses et des affrontements en apesanteur parfaitement réussis. Il ne trouvera d’ailleurs une nouvelle dimension qu’en découvrant le style de kung-fu qui donne son titre au film, le Taï-Chi.
Au final Yuen Woo-Ping ne nous livre pas là son meilleur film mais un spectacle agréable certainement. Si le scénario ne possède pas toute la consistance de celui de Tsui Hark pour Iron Monkey, ou la rigueur de la mise en scène de Gordon Chan pour Fist of Legend, ses faiblesses sont largement compensées par la force d’un casting complètement exploité au niveau spectacle. Les scènes mouvementées s’enchaînant assez rapidement, on passe d’autant plus facilement sur les carences de l’histoire pour jouir complètement de la vision de ces corps défiant les commandements de St Newton, avec quelques bouts de ficelles (littéralement) et un savoir-faire incomparable dont les résultats dépassent largement leurs succédanés hollywoodiens dopés aux effets numériques. Taï Chi Master devrait donc parfaitement remplir son office, contentant les néophytes initiés avec les travaux occidentaux de Woo-Ping et les fans réduit trop longtemps aux DVD imports, au mieux, quand ce ne sont pas les VCD à l’origine douteuse.
04 février 2002
par
Astec
Beaucoup de très bons combats et un scénario relativement consistant pour un bon film de Kung-fu
The Tai-Chi Master est plus qu'une simple succession de combats. Bien sûr ceux-ci tiennent une place prépondérante dans le film. Il y a même peu de films qui proposent un si grand nombre de scènes d'action… Pourtant, au milieu des combats titanesques, le scénario n'est pas inexistant et sait se développer intelligemment. Bien sûr l'intrigue n'est ni très complexe ni bien innovante : le pauvre Tianbao va être aspiré par ses ambitions et suivre un général cruel, cupide et sans pitié que l'ancien moine prendra comme modèle, ce qui le poussera à trahir par ambition personnelle ses amis et son plus proche compagnon, presque son frère, qui doit surmonter ses problèmes de consciences et ses doutes pour mettre fin aux sombres agissements de son ancien camarade. Pourtant le tout est bien mené et de nombreux thèmes comme l'amitié, la trahison, la responsabilité ou encore la soif du pouvoir seront largement abordés.
Du coté des combats, rien à redire : nombreux et variés, bien chorégraphiés, bien filmés, avec de très bons artistes martiaux (Jet Li en tête), le résultat est très bon. La densité et le nombre des scènes d'action est impressionnante, mais comment pourrait-il en être autrement avec le réalisateur de Le Sens du Devoir 4 aux commandes ?
Ajoutons à cela des musiques assez bonnes (la chanson qui passe lors de l'apparition de Qiushue) et on obtient au final un bon film de kung-fu.
Blockbuster martial
Un peu trop cadré pour son bien. Pas très drôle, peu impliquant, mais généreux en terme d'action. Je sais pourquoi je le vois sur le tard : c'est l'impression que j'en ai depuis tout ce temps. Manque la fraîcheur de la trilogie shaolin ou le jusqu'au boutisme violent d'un Chang Cheh. Beau grand écart entre les deux, mais par trop impersonnel.
Le plus grand des WuXiaPian...
Quand le Tai-Chi rencontre le Shaolin...
...et que le tout est chorégraphié par Yuen Woo Ping.
Avec Jet Li et Michelle Yeoh...
un budget colossal et comme méchant Chin Siu-Ho...
et que l'on a pour fond la légende du grand Zhang San Feng...
Et bien, vous avez là tout simplement le meilleur WuXiaPian de Hong Kong...
Beauté, violence, mythologique et tellement humain... c'est un pur chef d'oeuvre qui marque l'âge d'or du cinéma HK.
L'esprit guerrier est omniprésent. Le drame romantique se mélange à la fraternité éternelle. L'amitié sincère se heurte à l'ambition cruelle. La trahison soudaine amène une folie infernale...
Et dans cet enfer sans issue, le Tai-Chi réussit à apporter la paix tant attendue...
Sans doute le meilleur Jet Li, aussi bien pour l'acteur mûrissant au jeu sombre et divertissant ; que pour l'artiste martial au sommet de sa puissance fatale.
Yuen Woo Ping expose enfin l'aboutissement d'une expérience chorégraphique de plus de 20 longues années, et nous offre 1h35 de spectacle visuel d'une vitesse sidérante, et d'une beauté époustouflante.
My favourite Jet Li...
Rien de plus à ajouter si ce n'est que pour une fois, les cables sont utilisés pour des figures humainement impossibles. Ils sont la prolongation des techniques de Jet Li. Et c'est beau ! Très beau !
no comment
4.75 c bien?
twin warriors....tai chi master.....jet li.....michelle yeoh.....chin siu ho.....
rien qu'à ces noms mon coeur s'emballe!
c'est avec OUATIC fist et iron monkey les films de kung fu que je préfère et je ne pense pas être le seul!
chin siu ho joue impecc! michelle yeoh est pas mal bien bien et jet li est terrible!
l'histoire est assez simple mais le charisme des personnages et les chorégraphies démentielles de Woo Ping (la grace du tai chi contre la fureur du mézant!notons la poèsie du dernier combat et la projection du mézant par la tete: c'est magnifique) rendent ce film hallucinant de beauté.
à la fin du film on a envie de s'inscrire au tai chi! lol
film splendide, HK au summum
Des combats époustouflants
Si on me demande quels sont les films de Yuen Woo Ping que j’aime, et si je dois faire un classements de ses films, de Tai Chi Master arrivera certainement dans le top 10.
Ce que je remarque dans ce film d’art martial est que les femmes ont un des rôles assez important, car Michel Yeoh joue à côté de Jet Li, les scènes de combats joués par des actrices de Hongkong sont très impressionnantes, et très gracieuses, j’ai adoré la scènes où Jet Li et Michel Yeoh se trouvent dans un auberge, et Michel Yeoh se bat contre une autre femme, cette femme sort avec le petit copain de Michel Yeoh, grosso-modo une petite jalousie entre femme, et l’adversaire de Michel Yeoh est vraiment douée en art martial, j’ai visualisé cette scènes à plusieurs reprises, je vais essayer de vous résumer cette fameuse scène, Michel Yeoh se tenait sur une table, et son adversaire lui fonce dessus, elle vole à 10 cm du sol (visuellement c’est très beau à voir), avec des pieds en avant, elle arrive près de la table et ses coups de pieds phénoménaux ont cassé littéralement la moitié de la table, et Michel Yeoh réussi toujours à se tenir sur la table, je n'ai toujours pas compris comment ils ont fait cette scène, surtout voler à 10 cm du sol je pense c’est vraiment compliqué même avec des câbles dans le dos.
En résumé j’aime « The Tai Chi Master » car c’est un film avec des combats flamboyants, ça me rappelle des films de la Shaw des années 70, le scénario est assez classique, peu importe, le but de ce film est de montrer de l’ACTION, et c’est un film avec des duels aériens graphiquement très esthétiques non fantaisistes du tout, ce qui est intéressant aussi à voir dans ce film est que chaque personnage a sa propre technique de combat, ils utilisent les armes blanches différentes, de plus les personnage n’utilisent pas la même armes, techniques de combat à chaque nouvelle scène ,c’est un mélange de Kung-Fu et de Wu Xia Pian qu’on peut regarder avec plaisir pendant deux heures.
Olivier
film d'un tres haut niveau a classé au coté de "iron monkey"
the tai-chi master fais partie des 10 meilleurs films de kung fu de toute l'histoire.c'est simplement AHURRISSANT de voir des scenes de combats pareil. yuen woo ping trouve toujours le moyen de se surpasser mais ici il a fait tres tres fort. les acteurs aussi sont tres bon (oui meme jet li)sur un scenario qui tiens la route. il parait que "fong sai yuk" est genial aussi, je viens de l'avoir je vous donne rendez -vous dans quelques jours pour la critique.
jeff
27 décembre 2001
par
jeff
Jet Li parle avec un canard mais bon...
Le film est tt de même ahurissant!
Michelle Yeoh y est très émouvante et livre dans le restaurant un combat 100% féminin d'une maestria impressionnante!
Le scénario est loin d'être inintéressant en opposant les 2 ex-frères de sang mais peine au niveau comédie (Jet qui devient brinzingue = ouh lalala, pas bon du tout cette LONGUE scène!).
Par contre, les affrontements vous emportent dans des spirales délirantes (qq fois, ça devient même du 50 contre 1!) où tout devient possible, même le lancer d'hommes en guise de projectiles dans le combat final!...d'ailleurs, on hurle de rire qd on voit des soldats refuser d'être choisis pour ce sale boulot!
Amitié, trahison, ambition, maîtrise, tout y passe.
Vraiment, un très bon film!
claque visuel
yuen woo ping filmes les combats comme personne,dans ce film ça va à 200 à l'heure,avec toujours un pretexte pour se battre et avec n'importe quoi tant qu'à faire.je crois que ce sont les plus beaux combats que j'ai vu jusqu'à maintenant.moi j'adore ça,je reste scotcher tout le long du film et j'en redemande quand c'est fini.quant à l'intrigue? ben c'est secondaire dans ce genre de filme mais bon rien que pour ça je met pas 5 ^_^
Simple, efficace, carré
Si le modèle de film "scénario servant juste à relier les combats" vous convient, " Tai-Chi Master" vous tend les bras. Le rythme extrêmement soutenu du métrage sera seulement interrompu par la séquence variablement humoristique où Jet Li tombe dans une sorte de régression avant de guérir grâce à la compréhension des préceptes du Tai-Chi. Ce passage permet de faire une petite pause après une heure de bastons est autres scènes comiques. Ce qui rend le tout aussi agréable et chronophage, outre l'impressionnant équilibre quantité/qualité de l'action simplement hallucinante, c'est l'habileté narrative de l'ensemble : la caractérisation des personnages et l'histoire avancent souvent avec les morceaux de bravoures et se "nourrissent" les unes les autres.
Divertissement de qualité
Jet li est cool, les combats sont incessants et très spectaculaire. Bref c'est très sympa mais l'humour du film gâche pas mal de scènes à mon goût. Mais bon ça reste très bon quand même.
Un savoureux mélange
Un film très bien, un scénario classique, mais qui tient la route. Des acteurs parfaits, des combats de First of Legend. Tout réuni pour faire un très bon film spectaculaire et si classique à la fois, c'est cà qui fait son charme.
Suffisait d'utiliser le tai-chi
Film qui a certes un scénario bien basique et sans trop d'originalité, mais cela est compensé par les très bons combats cablés qui parsèment le film, de plus ceux-ci sont très nombreux dans le film, donc on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer. Niveau comédie, je serais plus nuancé, tout au long du film ca va mais par contre il y a un passage qui dure bien une dizaine de minutes et où on voit le Jet faire le fou et qui est disons assez spécial. On le voit même parler avec des canards... quoique ce passage m'a quand même fait sourire tellement c'est con, il y a pire.
Malgrès tout, si vous aimez le kung-fu spectaculaire, jetez vous dessus parce que c'est de la bombe niveau combats, ils sont vraiment très bien chorégraphié, normal c'est la woo ping touch.
Le meilleur Jet-Li
J'ai découvert Jet-Li dans L'Arme Fatale 4, film que j'ai trouvé très moyen, mais la petite démonstration de Jet Li avait suffi pour que je retienne son nom.
Après avoir vu les OUATIC, Fist of Legend, RMD, KOTD, j'ai enfin pu voir Tai Chi Master (aka Twin Warriors) et je dois avouer que j'ai été agréablement surpris par la prestation de Jet.
Il ne deviendra certainement pas le plus fin des acteurs, mais je l'ai trouvé son personnage dans ce film parmi les plus intéressants de sa carrière.
Que ce soit dans l'innoncence, l'incompréhension, la folie, la fermeté, son jeu d'acteur dans le film est très honorable. On pourrait également dire qu'il surjoue et je ne contradirai pas, mais pour moi il arrive à faire une nette différence dans les moments comiques et les moments plus sérieux, tout en nuance.
Quant aux autres acteurs, j'ai reconnu en cours du film Chin Siu-Ho qui était avec Jet dans Fist Of Legend, et c'est une bonne chose, car il est bon acteur ainsi qu'excellent artiste martial à mon avis.
Pour ce qui est de Michelle Yeoh, j'ai été impressionné à son apparition dans le film, par sa beauté dans la tristesse qu'elle exprimait.
Dommage que son personnage et son histoire n'ait pas été plus développé :-(
Revenons au film en lui-même, dont les scènes d'action sont à se décrocher la mâchoire, Yuen Wo-Ping aux commandes, je suppose que ça garantit une certaine qualité ! :-)
L'humour n'est pas absent et certaines séquences sont vraiment originales (voir comment deux moines shaolin gagnent de l'argent)
Le scénario est certes des plus simplistes, mais le contexte du Tai-Chi , l'évolution des deux amis après leur fuite du temple, en font l'un des meilleurs films de cette catégorie que je connaisse.
A titre de comparaison, Tai Chi Master se situe au même niveau qu'un Iron Monkey et pas loin de Fist Of Legend.
17 novembre 2001
par
glub
DU BON KUNG FU. A VOIR
Peut-ête pas le meilleur Jet LI mais du grand spectacle tout de même. A voir sans problème.
Un de meilleurs Jet Li.
Jet Li incarne un de ses meilleurs rôles dans ce film exceptionnel. Il bénéficie d'un casting de qualité, de chorégraphies très spectaculaires. Le scénario est assez simple (deux frères qui vont se retrouver ennemis à cause de leurs convictions) mais n'est vraiment pas ridicule par rapport à de nombreux films du genre.
Retrouvez donc Jet Li incarnant un de ses plus grands rôles dans ce combat fratricide au sommet.
Rigolo mais pas inoubliable
Jet Li + Michelle Yeoh + Yuen Woo-ping = raaaaaaaaaaaaah !!! On ne bave pas, svp, merci.
Effectivement en voyant l'affiche on se dit qu'on va avoir l'égale d'un Once Upon A Time...mais en fait le film est totalement différent. Jet Li l'a tourné pour casser son image de Wong Fei Hung et prouvé qu'il pouvait jouer la comédie....ce qu'il fait fort bien puisque l'on se surprend à rigoler des situations qu'il a lui même créer, chose peut-être plus rare dans la saga initié par Tsui Hark (et que l'on retrouve dans ces films occidentaux mais c'est involontaire me dit-on, je n'en crois pas une seconde)
Mais le film ne se contente pas d'être une "kung fu comedy" (genre que j'ai du mal à apprécier). Il n'oublie pas les combats (qui réalise déjà ?) qui nous prouve une chose : yuen Woo-ping est fou (on en a la certitude devant Matrix Reloaded), il adore jouer avec ses câbles et faire voler ses interprètes ? Ca tombe bien nous aussi. Les fights sont emballants et jouissif au possible (surtout quand c'est le classique 2 contre 100), parfois dénués d'enjeux et je rajouterai un petit bémol à la violence de certaines scènes (c'est pas Braindead non plus) qui font "tâche" (sans mauvais jeu de mot) avec la déconnade de plusieurs scènes.
Cependant là où woo-ping a voulu en faire trop, c'est dans le coté "tragique" avec la séparation de deux meilleurs amis qui se retrouvent dans des situations antagonistes, ce qui a pour mauvais effet de nous "détacher" des personnages et de ne pas semer le doute en enfermant le méchant dans un rôle de dictateur arriviste,....un peu d'ambiguïtéaurait été le bienvenu.
Ces réserves mises à part, nous avons un pur wu xia pian "du samedi soir" intelligent et bien emballé qui nous fait sortir le sourire aux lèvres....ce qui est déjà pas mal.
A voir !!
On passe un très bon moment surtout grâce aux excellentes scènes de combats (avec des cables pas toujours tres bien cachés (!) ) ... La période du film où le héros devient amnésique est un peu longuette et l'humour y est souvent un peu ... lourd .... Mais cela ne gâche pas notre plaisir !
Du très bon kung-fu
Autant Jet-li ne m'a pas convaincu dans fist of legend, autant il est au top dans un rôle shaolin comme dans tai-chi master.
De superbes combats très variés.
Un seul bemol, la partie du film où jet devient débile, c'est n'importe quoi, c'est sensé apporter une touche d'humour ?!!!
A part ca rien à dire, fans de kung-fu vous ne serez pas déçus.
enchainement de combats bien frénétiques, on reconnait bien la patte YEN woo ping, qui maitrise bien son sujet et nous livre un film savamment dosé. le problème c'est que j'ai décroché au bout de 3/4 d'heure car le scénario s'essoufle, et j'avoue j'étais très fatigué quand je l'ai vu. les amateurs de bonne baston bien chorégraphiée en auront pour leur argent
Et bien dansez maintenant.
The Taï-chi Master, sans doute le meilleur film de Yuen Woo-ping, c'est la densité. Car tout le développement du film jour sur un fil, sur sa raideur, celle qui s'exploite par la multiplication des événements, et donc du sens, à partir de rien, ou de trois fois rien : un code de genre, des personnages qui sont autant de marionnettes, des trucages à peine cachés, une ébauche de scénario - autant dire un synopsis. Car c'est là la vertu de Yuen Woo-ping, dans The Taï-chi Master : créer de la densité à partir de rien ; le Taï-chi, comme sport de combat, comme prétexte au geste, comme métaphore du sens corporel, tire toute sa densité d'un minimum de mouvement - ainsi du film. Il n'est pas étonnant, alors, que les dernières scènes de combat soient à la fois beaucoup plus puissantes alors même que la virtuosité semble lentement s'en retirer - ralentis, cette économie paradoxale de l'intensité. Mais il n'est pas étonnant non plus que, finalement, The Taï-chi Master ne soit qu'un film moyen : la densité de l'objet-film, ou plutôt la densité sur laquelle l'objet-film se replie sur son fil, est fissurée, comme affaiblie non pas tant par certains décrochages potaches que par le trou qui s'y forme de l'absence d'un histoire d'amour (de deux histoires d'amour) qui s'y donnent pourtant comme toujours présentes. C'est tout le drapé du film, autour de son fil, qui est alors en question : la densité, brute, est juste une masse inerte, aux principes dynamiques émasculés par la spectralité de ce qui y manque - et de ce qui s'y affirme comme manque ; de ce qui manque à son propre désir de film.
Un film "tornade" tourné comme un film de cul
Le scénario quasi inexistant n'est qu'un prétexte à un
enchaînement de combats presque ininterrompu de très grande qualité .
Les combats sont aussi épiques que ouatic et
virtuose que drunken master 2 .
Néammoins il est très soulant.
Un film de surexcités: Le hard boiled du kung fu!
Ce film n'est pas destiné aux pratiquants de la non-violence et du Tai-chi New âge!Il n'y a aucun rapport avec le Tai-chi cet art très lent du Bien être.
Il s'agit d'un film de kung fu électrique mené avec un rythme très soutenu.Tout est prétexte à faire un combat.
Et quels combats! On se hisse au niveau esthétique de OUATIC2 avec une énergie digne d'un bon Jackie Chan.
C'est comme si Ouatic2 et drunken master 2 s'étaient fusionnés.
Jet li et Michelle yeoh se sont bien démenés, leurs scènes de duels sont remarquables.Quant aux jeux des acteurs tous s'en sortent sauf Jet li. Ce dernier est pitoyable et d'une grande niaiserie,en particulier lorsqu'il perd la raison.Cette longue scène de comédie a son utilité, elle permet au spectateur de reprendre son souffle!
En conclusion Taichi master est le Hard Boiled du film d'art martiaux! Un bon Kung fu trop fatiguant.
VPC
Que de jolis combats! Très très bon divertissement
Tai Chi master, sans atteindre le génie d'un "Il était une fois en Chine", possède des qualités indéniables, que ce soit chorégraphiquement parlant, ou du strict point de vue de la mise en scène. On sent que Yuen Woo ping s'est beaucoup investi. La photo est très réussie, les décors et les costumes contribuent à l'esthétique générale, bref, visuellement, rien à redire. Le scénario n'est pas extraordinnaire, et joue sur des sous intrigues à l'intérêt douteux (Michelle Yeoh ne sert à rien en dehors de faire un peu de marketing), mais est suffisament bien mené pour maintenir certains enjeux, qui rendent les affrontements entre les deux "frères" assez intenses.
C'est principalement de ce point de vue qu'on n'atteint pas la grandeur d'un Ouatic, trop manichéen, trop classique, trop kung fu pour être aussi profond que les aventures du docteur Wong, il n'est finalement qu'une excuse de plus aux combats. Comme ces derniers sont nombreux, et dans l'ensemble de qualité, on ne s'en plaindra pas trop. Malgré leur nombre, ils sont très variés, et certains sont tout simplement splendides: il n'y a qu'à voir Jet et Siu ho affronter une cinquantaine de moines armés de bâtons, cette scène est anthologique et mérite à elle seule le visionnage.
Les duels aux sabres sont également de toute beauté. Mais pour moi, le combat le plus beau est celui opposant Michelle à une vipère. Rarement on a assisté à autant de grâce et de légéreté, prouvant une nouvelle fois aux détracteurs des films d'arts martiaux que combat ne signifie pas violence. On assiste à une danse superbe, un ballet magnifique! enfin un combat de femmes qui redonne ses lettres de noblesse à la féminité, toute martiale qu'elle est en l'occurence, et qui prouve qu'on peut rester femme tout sachant se battre. Les décors sont utilisés avec une justesse étonnante, les câbles admirablement posés ne font plus qu'un avec nos deux combattantes.
La chorégraphie, tout en restant vive et fluide, fait l'objet d'une ampleur impressionnante, c'est presque un hymne à la féminité, renvoyant "l'esthétique" d'un "naked weapon" à la corbeille, puisqu'en plus d'être visuellement splendide; ce combat est magnifiquement chorégraphié et les actrices savent ce qu'elles font. L'affrontement final en revanche est un peu décevant, et les autres combats sont plus anecdotiques. On assiste donc à un divertissement de très haut niveau, mais qui reste inégal. A voir quand même.
dans la lignée...
Sans se démarquer, tai chi master est un film "de plus", pour yuen woo ping ou jet li, petit lot de pseudo nouveautés, histoire déja vue, memes ingrédients. Quand on a vu iron monkey, fong sai yuk, tai chi master, wing chun etc, c'est comme si on les avait alors tous vus. Preuve évidente, (pensez aux james bond ou aux jackie chan), d'un cinéma "populaire" (au sens positif), rassembleur et témoin d'une culture, d'une identité évidente (qui manque peut-etre dans notre société non?)
Jet Li créateur
Taï-chi master est une vraie réussite : le scénario est plus poussé que dans les productions de ce type (il y a une vraie intrigue…), les combats atteignent un degré d’invraisemblance inédit quant à l’utilisation de l’espace et des compétences physiques des héros ; si on ajoute un humour très spécifiquement cantonais, proche des films de baston avec Terence Hill et Bud Spencer (un combattant soulève un ennemi et le lance sur une vingtaine de personnes qui, bien sûr, ne se relèvent pas), on obtient quelque chose de très réjouissant. On pourra évidemment rire du fait que la moindre claque entraîne systématiquement la mort, du jeu pas très fin de Jet Li (surtout dans le registre convalescent sortant d’un profond dérèglement mental), ou de la construction façon film porno (une scène de comédie mal jouée-une scène de combat complètement irréaliste-etc), mais Taï-chi master reste un bon divertissement qui n’atteint certes pas la virtuosité technique des derniers Tsui Hark, mais est hallucinant et mémorable pour qui n’est pas familier de ce type de films.
Un film spectaculaire et sympathique !!
Un rythme effréné, des combats du feu de dieu, des personnages attachants et une absence totale d'ambition dans le message véhiculé ( ce n'est pas une qualité! ) font de ce film un excellent divertissement ! that's all !
14 octobre 2004
par
a woo
Actionner
On assiste à un grand actionner très HK, qui ne s'égare rarement dans de longs discours (plus rythmé que Fist of Legend) et livre des grosses séquences de combats en permanence. Ce n'est pas un chef d'oeuvre mais un bon divertissement qui a le mérite de ne pas ressembler à grand chose de connu.
Jet li avant the one
Quand un realisateur de genie rassemble trois grands artistes martials,on obtient tai chi master
Mention passable.
Heureusement que le film possède une bonne dose d'humour et des combats pour plaire aux fans. Il faut lui reconnaître un ensemble divertissant même s'il est profondemment "bidon" dans le fond. Jet Li est toujours aussi ridicule mais bon, c'est pas nouveau.
Mouais...
...mais pour les combats cablés ce sera sans moi.... sans compter la légereté azumiesque du scénario et l'humour qui ne vole vraiment mais alors vraiment pas très haut. Les péripéties sont au plus sommaire, l'on éprouve aucune sympathie pour les protagonistes, le coté "politique" du film est bidon (holalalala le pote qui devient un suppot malfaisant du pouvoir maléfique, c'est tellement original!)... un film qui ne restera pas dans les anales.
Grosse déception...
Scénario pas top du tout, assez ennuyeux! Classique et hyper prévisible, en clair y'a bien mieux à voir!
Grande déception
Ce film ne mérite pas tout le battage qu'on lui a fait depuis le succés de Tigre et Dragon, et s'il est sorti en dvd 9 ans après avoir été tourné c'est tout simplement un coup de marketting (encore et toujours).
Mais intéressons-nous un peu au film. Le scénario est tout à fait basique, les 2 frères ennemis, le gentil naïf et le méchant ambitieux (peut-on parler de Candide ou de Machiavel, non, sans doute pas dans un film où les personnages ont une dimension aussi réduite...). Le casting, qui pourtant aurait pu donner quelque chose de très bon, offre à Jet-Li une scène débile (que même Jackie Chan aurait pu refuser de tourner) en plein milieu, pour bien casser le rythme haletant qui ponctue le reste de l'histoire. Et quand Jet-Li redevient enfin "normal", on a droit à une expliquation vaseuse de ce qu'est le Taï-Chi, qui devient ici plus une preuve directe de la théorie du chaos qu'autre chose...
Les combats, pourtant bien chorégraphiés, ne s'arrêtent jamais, et au lieu de dire "on en redemande !", je crierais bien "arrêtez les gars, c'est pas la peine de vous battre contre toute une armée et de faire un massacre, de toute façon le gentil va gagner et il ne suffira que d'une parole de Michelle Yeoh pour que tous les soldats déposent les armes !". Et la musique, qui fait une allusion évidente à celle de OUATIC, ne relève pas assez le niveau tout en nous faisant penser à Il était une fois en Chine, et l'on verse une petite larme de nostalgie en se disant que c'était si bien quand Yuen Woo Ping bossait avec un vrai réalisateur...
Bref, ce film est un rassemblement de bonnes idées provenant d'autres films et resservies n'importe comment. Avouons-le carrément, ce n'est pas parce qu'un film médiocre a été vendu comme le très poétique Tigre et Dragon qu'il en deviendra meilleur. Si ma critique est assez dépréciative, c'est avant tout parce que ce film est tout à fait décevant par rapport à ceux qui ont rendu le kung-fu de plus en plus populaire ces dernières années.