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Sex and Zen

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les avis de Cinemasie

8 critiques: 2.56/5

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16 critiques: 2.59/5



Anel 4
Junta 3.5 Quelques moments drôles, mais dans l'ensemble c'est assez cul et un peu chiant.
Ghost Dog 3.25 Conte érotique superbement mis en scène et en image, Sex and Zen est un grand c...
Arno Ching-wan 3.25 Sexe sans gêne
MLF 2.75
jeffy 2.25 Moraliste et ennuyeux
drélium 1.5 2% érotique et 98% super crétin voir même limite malsain.
Ordell Robbie 0 Navrant et même pas jouissif
classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement


Conte érotique superbement mis en scène et en image, Sex and Zen est un grand classique de la « catégorie 3 » hong-kongaise !

Dès les premières images, il n'y a pas à en douter, on est dans une production de qualité, même s'il est placardé sur la jaquette que c'est un film érotique interdit au moins de 16 ou 18 ans (ça dépend des pays). Avec de gros moyens, Michael Mak a pu soigner sa mise en scène, sa photo et sa direction d'acteurs. C'est bien simple, on se croirait dans un film historique de Tsui Hark, genre The Lovers. Sauf que ce sont des amants un peu particuliers à qui nous avons affaire: le personnage principal est un obsédé, et va croiser des jeunes femmes dont la pudeur n'est pas la première vertu...

Le film comporte 2 qualités à l'origine de son succès: d'une part les scènes de sexe jouent sur la suggestion plutôt que sur le grand déballage de chair fraîche, ce qui a pour conséquence de rendre ces scènes agréables à l'oeil et assez excitantes; d'autre part, Sex and Zen ne se prend décidément pas au sérieux: qu'on admire les ébats fougueux du jardinier, capable de « limer sa femme » pendant 2 heures dans les positions les plus abracadabrantes et pas forcément les plus confortables, ce qui provoque d'immenses fous rires, ou bien la scène de la greffe, franchement drôle: coincé dans un tonneau, notre héros doit d'abord se la faire guillotiner, mais le chirurgien est un peu spécial, et le chien puis le cheval se révèlent peu coopérants pour cette délicate opération...

Dès lors que ce jeune homme est correctement membré, il va faire tomber en pâmoison toutes ces dames en manque de sexe, qui n'hésitent pas à le violer pour satisfaire leur libido et leur curiosité, avant que cet atout non négligeable ne se retourne violemment contre lui ! Le retour de bâton, en quelque sorte. Si Sex an Zen peut être apparenté à un film érotique, il n'en reste pas moins une véritable comédie et démontre, si besoin en était, que le cinéma de Hong-Kong est toujours aussi surprenant et original. Personnellement, je me suis bien marré, alors je ne serai pas étonné que vous en fassiez autant!



22 octobre 2000
par Ghost Dog




Sexe sans gêne

On a là davantage une illustration de type « grosse bite à Dudule » qu'Histoires d'O mais ça fonctionne pas mal. Ce conte paillard n'est ni dénué de sens (aller, retour, aller, retour, aller...) ni de fond ("ouuuuch !"), qu'il touche et, parfois, qu'il touche aussi, c'est vrai. Mais dans ma mémoire traînent de bien jolies bribes non abattues, d'Elvis Tsui en rut aux quelques superbes scènes saphiques, en passant (COUIC !) par un zizi coupé, source de rigolade bien grasse. Le dénouement, glauque, reste assez surprenant.

J'attends le Blu-Ray 3D avec impatience pour pouvoir faire des pauses, des ralentis, des accélérations, des allers, des retours, pour, en bout de course, faire gicler le support une fois l’acte terminé et… bon, bref, quelques photos suffisent largement à parler de ce joli z'objet comme dirait l'autre.

A noter : le retour vaut largement l’aller.




12 août 2010
par Arno Ching-wan




Moraliste et ennuyeux

Pas de grands interêts dans ce film, l'aspect comique est asez peu utilisé sauf dans la scène de la greffe et le reste est très plat, à part peut-être la technique de calligraphie. Si vraiment il fallait trouver un interêt au film, ce seraient les personnages malheureusement secondaires de Kent Cheng et de Elvis Tsui.

19 septembre 2004
par jeffy




2% érotique et 98% super crétin voir même limite malsain.

La suggestion, je veux bien, mais là, il n'est plus question de suggérer mais de mélanger le crétinisme de la cat III et les femmes nues (et encore, le plus souvent bardées de draps de soie). Au final, il n'y a absolument rien d'érotique. C'est plutôt une accumulation de scènes timbrées voir dégoutantes. Une seule scène est un peu excitante, celle avec les deux lesbiennes qui se fourrent une flûte (mais qu'est-ce que je dis moi !?). Le reste est infâme, baignant dans une imbuvable comédie polissonne à l'humour lourdingue. Un gars qui se fait greffer un sexe de cheval, je me doutais qu'on arriverait à des scènes plus débiles qu'érotiques. Mais c'est bien pire encore que ce que je pouvais imaginer. Il n'y a que ça. Entre la masturbation entre deux tranches de pain, Elvis Tsui qui joue au gros bourrin, les filles qui ne savent pas par où prendre l'engin énorme, emballé dans du tissu qui plus est (interdit de montrer le moindre sexe évidemment). Heureusement d'ailleurs car montrer un sexe de cheval greffé sur un homme, c'est le ponpon pour me filer la gerbe.

Avec les beaux décors et costumes et le nombre de belles asiatiques au m2, c'est vraiment un gâchis monumental. Nul et très chi@!# : une sacrée daube.

PS : Petite remarque assez marquante, il n'y a pas des kilomètres pour voir en cette histoire un phénoménal complexe d'infériorité chinois tant le film fait constamment le rapprochement direct entre engin énorme = plaisir énorme.

26 janvier 2004
par drélium


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