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Sakuran

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les avis de Cinemasie

1 critiques: 2.5/5

vos avis

11 critiques: 2.82/5

visiteurnote
Anel-kun 2
antigone 4.25
Bastian Meiresonne 3
Epikt 2.25
geez 3.5
Inoran 2.25
jeremiebarilone 2
lo sam pao 4
Omerieux 3.25
Pikul 2.5
Samehada 2


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Et la tendresse, (au) bordel...

Relecture savoureuse pop des "Mémoires d'une Geisha" par la jeune photographe branchée Mika Ninagawa. La débauche des décors, costumes et couleurs n'est pas sans rappeler l'énorme gâteau crème de Sophia Coppola, "Marie-Antoinette", mais évite – lui – l'indigestion. Le mérite à un casting haut en couleurs et une bonne dose de sensibilité féminine, qui met – parfois! – à égalité le fond et la forme. Car force est de constater, que le déluge des cadres impeccablement pensés et lumières bien en place fige l'ensemble comme sur du papier glacé. Le jeu d'Anna Tsuchiya est inégal: par moments, elle réussit parfaitement à incarner cette espèce de lolita savoureuse, qui réussit à faire perdre la tête à plus d'un Seigneur par ses jolies moues; souvent, elle en fait un peu trop et ressemble au personnage de manga, dont le film est adapté. Etrange choix également au niveau de la musique, dont le décalage apporte parfois un plus, mais sonne parfois faux (comme cette insupportable chanson pop finale). Un drôle de petit objet arty, qu'il serait intéressant d'évaluer à intervalles réguliers au cours des prochaines années pour voir comment il supporte le poids du temps.

24 avril 2007
par Bastian Meiresonne


prometteur, mais décevant

Prometteur, ou au moins intrigant, Sakuran avait de sérieux atouts dans sa manche : Anna Tsuchiya (qui n'est toujours pas une bonne actrice, mais bénéficie chez moi d'un capital sympathie inexplicable), de jolies couleurs, une BO signée Shiina Ringo,... la classe quoi ! Pourtant il déçoit, incapable de tenir ses belles promesses. Sans grande surprise, sans la folie que le projet invitait à attendre de lui, sans grâce particulière, Sakuran se contente de dérouler paresseusement son fil, sans véritable accroc pourtant, mais avec comme un amer goût de déception.

10 septembre 2007
par Epikt


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