Le loup solitaire
L'une de ces innombrables adaptations de BD indonésiennes méconnues en-dehors de leur pays d'origine (ressemblant beaucoup aux "confetti" italiens, par exemple), "Phantom White Wolf" n'apporte malheureusement que très peu au genre et souffre d'une réalisation peu inspirée d'Imam Tantowi.
L'histoire est des plus simplistes et sert surtout à poser les personnages du film, beaucoup mieux mis en scène dans le second volet des aventures du sabreur solitaire à avoir été tourné dans la foulée.
Restent quelques bonnes scènes bien sanguinolentes, comme celle de Jari Getih enfonçant ses doigts dans le torse du White Wolf à l'instar d'un Ken le survivant dans le manga japonais.