L'un des plus mauvais films de Michael Bay. C'est dire...
Dégoulinant de patriotisme et de clichés démesurés pour une production qui se veut un tantinet sérieuse, Pearl Harbor est un film délivrant un message proprement gerbant, dont le traitement affligeant du conflit USA-Japon se voit en plus ruiné par un fond de mélodrame larmoyant occupant les trois-quarts du film. Michael Bay prouve une fois encore qu'il est le pire tâcheron d'Hollywood dans le domaine du blockbuster friqué.
Patriotes guerriers de tout poil, ce film est fait pour vous ! 
Pearl Harbor est sans doute le plus mauvais film de guerre de tous les temps. L’attaque surprise des japonais en ce 7 décembre 1941 n’est qu’un interlude pétaradant de 30 minutes noyé dans une romance à 2 balles de 2H30 tellement interminable qu’elle semble durer au moins 8H… Tout est lissé, édulcoré, des sentiments aux symboles :le bon noir (Cuba Gooding Jr) devient un héros de guerre – les américains ne sont pas racistes mais unis contre l’ennemi ! -, le lieutenant est brave et solidaire avec sa troupe, les pilotes sont courageux et prêts à mourir pour la liberté du monde (Ben Affleck et Josh Hartner sont aussi crédibles qu’une nouille chinoise dans une purée de pommes de terres), les infirmières sont toutes fraîches, naïves et heureuses que leur compagnon parte au combat,… Avec ses paysages de cartes postales, Michael Bay réussit à rendre la guerre propre et juste, la mort douce, la haine et la vengeance légitime, le patriotisme triomphant. Mais en surfant sur le succès inattendu de Titanic et de son histoire d’amour contrariée par une catastrophe, il trahit toutes ses bonnes intentions en laissant apparaître son véritable lui : un mercenaire assoiffé de fric prêt à tout et surtout à n’importe quoi pour se remplir les poches !
Ce film a cependant pris une autre dimension bien plus intéressante depuis les attentats du 11 septembre 2001 : il est devenu encore plus ridicule (comment ne pas éclater de rire en entendant le lieutenant incarné par Alec Baldwin affirmer à ses hommes « si, lors du bombardement de Tokyo, mon avion est touché, alors je choisirai un endroit stratégique et je m’y écraserai » ?), mais aussi bien plus inquiétant quand l’infirmière affirme qu’après cette attaque, les USA se sont mutés en un Etat fort et responsable, en gendarme du monde, sans citer Hiroshima et Nagasaki qui sont pourtant la conséquence directe de Pearl Harbor…
Si vous voulez voir un vrai et beau film de guerre, préférez de loin La ligne Rouge, ou même Tora! Tora! Tora! (1970) qui traite également de cette attaque mais avec un regard beaucoup plus neutre et beaucoup moins racoleur.
Insupportable, malgré les moyens mis en oeuvre
Spectateurs, attention! Un phénomène assez étrange a été rapporté par de nombreux spectateurs du film. A chaque phrase prononcée par Ben Affleck, il semblerait que certains spectateurs soient pris d'une crise de fou rire incontrôlable pouvant aller jusqu'à la mort, accompagnée le plus souvent d'un "oh non, c'est pas possible!" voir d'un "oh mon dieu c'est trop mauvais non argh". Merci de ne regarder ce long métrage qu'avec une autorisation de votre médecin cinéphile le plus proche.
Micheal Bay et ses chevilles s'attaquent ici au cinéma Hollywoodien dans ce qu'il a de plus noble, de plus grand, l'épopée romanesque, avec son budget pharaonique, ses stars aux dents blanches. James Cameron avait prouvé que le concept était encore viable, Micheal Bay s'engouffre donc dans la brêche. Le résultat est proprement édifiant: autant les moyens mis en oeuvre sont colossaux, autant le traitement de l'histoire est d'une niaiserie qui transforme instantanément le film en comédie malgré lui. Il ne faut pas plus de 3 minutes de film chrono en main pour que Bay commence à balancer des ralentis, de la grosse musique, et des répliques plus paquebot que bateau. Car c'est bien là la plus grosse faiblesse de Micheal Bay, ce n'est pas son montage épileptique, non, c'est son côté bavard. Impossible de ne pas pouffer de rire devant les inepties débitées avec la régularité d'une montre suisse par les interprètes. Là où Cameron jouait comme toujours la carte de la simplicité, Bay multiplie les plans et les dialogues. Un film comme Pearl Harbor devrait laisser ses images parler, mais Bay en rajoute deux couches, une première à la caméra, une seconde via les dialogues. On peut certe profiter des moyens mis en oeuvre pour reconstituer l'évènement, mais jamais la puissance émotionnelle qui aurait dû s'en dégager n'est palpable, on ne croit jamais à ces personnages complètement irréalistes qui sortent une grande phrase à chaque fois qu'ils ouvrent la bouche. Pour une soirée bière entre potes, il y a par contre un potentiel assez énorme que seul Armageddon ou Indenpendence Day pourront égaler.
Bref, Pearl Harbor c'est Micheal Bay qui se prend pour un grand réalisateur Hollywoodien sans en avoir les moyens. A tenter de prendre au second degré plutôt que de s'énerver sur le gâchis d'un tel budget.
à oublier
Ennuyeux et soporifique . je n'ai pu tenir qu'une demi heure tant ce film est mauvais . On ne croit pas une seconde à l'histoire d'amour et à l'histoire tout court tant le jeu des acteurs sonne faux .
Mais.....Quand même !!!
Plus mauvais film de M Bay a ce jour (son meilleur est Armageddon qui pourtant est tout juste potable )Pearl Harbor est un ratage complet ,c' est une boursouflure tentant de marier le revival du film de seconde guerre mondiale (les magnifiques Saving private Ryan et La ligne rouge )et le drame romantique genre Titanic.
Un film décevant au vu de sa magnifique bande annonce...Pearl harbor est bourré de clichés ,d' images cartes postales frimeuses et hors de propos ,d' inexactitudes historiques (kamikases en 1941) ,de patriotisme revanchard issu des production reaganiennes des 80's (choisir l' opération Doolitle comme toile de fond de la 2° partie semble être une pub pour les derniéres campagnes américaines genre Golfe et Serbie).De plus les scènes de batailles sont hideusement filmées...genre je filme en gros plan en balancant ma caméra dans tous les sens ,idéal pour gerber après un bon repas ! (les Messerschmidts et les Zeros méritaint mieux que ça !
Maintenant venons en au principal ,la love story affreusement peu boulversante ,peu originale et archi telephonée du genre :"Mon amoureux est mort ,je vais avec son copain ,oh mon amoureux reviens ...je resort avec lui !"...C' est niais non ? En plus le cabotinage de Ben Affleck est exaspérant alors que Josh Artnett est aussi vif qu' un basset artésien !(Il est pourtant exellent dans Virgin scuicides)
PS: Savez vous que lorsqu'on se p^rend une bombe nos vêtements sont parfaitements lisses et blancs ?
Car ce film est aussi lisse et édulcoré (voir les concessions au début...wha ça remonte a leur enfance !
Scénario digne d'un téléfilm à rallonge du dimanche après-midi sur M6. Acteur inodore et sans saveur, Ben Affleck et son charisme de gnou, irradie littéralement la pellicule. Mâchoire serrée et rictus stupide, même expression béate et idiote, lorsqu'il est amoureux, en colère, triste (comment fait-on pour le savoir d'ailleurs?), dans le clip de son ex (J-Lo pour les intimes), avec sa moumoute dans un spot publicitaire pour un shampoing Loréal. Même Hayden Christensen ne lui arrive qu'à la cheville dans Stars Wars. A regarder comme on déguste un gros BigMac, bien gras.
désastre américain
a l'image de l'attaque de pearl harbor, le film éponyme n'est qu'une grosse déroute. Michael Bay filme ses acteurs n'importe comment, en placant sa caméra au gré de l'humeur du moment (voir armaggeddon), nous gratifie d'un montage épileptique, en totale contradiction avec le rythme interne du film, encore une fois du grand n'importe quoi pré-formaté (cf le climax de merde). Quant au fond... les soldats américains sont décris comme des neuneus prépubères, l'histoire est débile, le ridicule étant atteint quand un cuistot prend un canon sur un porte avion pour zigouiller les avions japonais... restent les beaux avions mais autant faire un tour au musée de l'aviation.
Du gachis et ca m'énerve
Aussi niais qu'interminable.
F.D. Roosevelt sans retournerait dans sa tombe
Une purge qui a un nom !
Y'a un truc avec le style Michael Bay....
...qui fera que toujours ces films ne seront que des gros machins vulgaires et sans style, un produit aussi grâcieux qu'un sandwich royal emballé dans de l'aluminium. Peut-être est-ce l'interprétation (Ben Affleck je te hais!)? les impératifs patriotiques (qui n'avaient jamais aussi bien trouvé à s'exprimer depuis Armaggedon?
Quand Hollywood nous pond une telle merveille visuelle et scénaristique, on ne peut que s'incliner en faisant fi des préjugés. 
ps: je suis tombé fou amoureux de Kate Beckinsale !!
