Sans un bruit et sans finesse.
Mercury ou le moment où un SUBBARAJ fait dans l’expérimentation nulle et non avenue. Un film sortant la même année que
Sans un bruit, avec zéro parole et un propos écologiste asséné avec balourdise. Et avec un prétexte narratif hautement artificiel pour justifier son parti pris. Evidemment tout ça finit par se regarder filmer et, lorsque le film trouve un vague début d’intérêt dans l’usine, tout cela est effacé par un retournement rédempteur de fin très mal écrit.