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Mémoires d'une geisha

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les avis de Cinemasie

7 critiques: 2.32/5

vos avis

23 critiques: 2.78/5

visiteurnote
lesamouraifou 4.5
Fred30 4.5
LiMuBai 4.25
Kanashii Uchiki 3.75
antigone 3.75
eniger 3.75
Black_pantha 3.5
tu0r 3
cityhunter 3
popoyo 3
Scalp 2.75
jeff_strike 2.75
Samehada 2.75
Phildu62 2.5
Omerieux 2.25
geez 2.25
sanosuke 2
Pikul 2
X27 1.75
Simon VD 1.75
Toxicguineapig 1.75
Illitch Dillinger 1.5
Khanheda 1


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Ah mein Gott!!

WOW, j'ai failli verser une larme!!! Qui aurait imaginé une fin pareille après moult péripéties... Que la vie est cruelle, et qu'est ce qu'elle est belle!!! et si vous hésitez à le voir, n'hésitez plus, allez-y franchement. ce sera pas du temps perdu, parole de scout!!!

15 juillet 2007
par lesamouraifou


SUPERBE ET EMOUVANT

Réalisateur américain, casting chinois, malais et japonais, film tourné en langue anglaise, j'étais sceptique avant d'aller voir le roman d'Arthur Golden porté à l'écran mais je me suis dit que pour 3,50 € je ne risquais pas grand chose. Et j'ai été vraiment agréablement surpris dès les premières minutes du film... Certes, l'histoire peut paraître convenue et les rebondissements demeurent bien peu nombreux. Pourtant, on suit avec intérêt le destin de Chiyo, petite fille vendue comme simple servante dans une maison de gueishas et dont la vie dramatique nous est ici contée. Côté acteurs, on a droit à une prestation en tous points irréprochable, tous se comportant avec suffisamment de professionnalisme pour donner de l'ampleur à leur personnage. Mention spéciale à Zhang Ziyi qui s'exprime plutôt très bien en anglais et qui prouve encore une fois s'il en était besoin qu'elle est une comédienne remarquable, sa spontanéité, sa fraîcheur et sa beauté étant des atouts non négligeables pour le film. La mise en scène est sobre et posée tandis que la photographie reste magnifique du début à la fin aidée en cela par les magnifiques couleurs des vêtements et des paysages naturels entre autres mais aussi par un éclairage savemment étudié qui sublime un ensemble esthétique déjà irréprochable. La scène où Sayuri danse est d'ailleurs un moment de pur bonheur, ceux qui l'ont vu s'en souviennent certainement tant l'instant apparaît magique et irréel. Bref un film peut être peu original, j'en conviens, mais un film travaillé et émouvant qui m'a convaincu et durant lequel je ne me suis pas ennuyé une seconde

22 mars 2006
par LiMuBai


Dommage que ce soit réalisé par un americain

Les acteurs sont excellents (surtout Zhang Zi Yi, et son personnage enfant), les décors et les costumes sont magnifiques, l'histoire est trés interessante (bien que la fin soit à mon goût trop prévisible). Le seul probléme, selon moi, c'est que le film pert de son charme, dans sa façon d'être filmée : beaucoup trop occidentale, et commerciale Mais ça reste un trés bon film, que je vous conseil d'aller voir.

08 janvier 2006
par antigone


décevant au vu du commencement

Ce film est décevant à part les 50 premières minutes du film qui sont vraiment appréciable et la scène de danse qui est agréable à regarder. Par contre le reste du film se perd pour finir par une happy end indigeste. Et en çe qui concerne le jeux des acteurs actrices qui sont normalement tous très bon, la leur prestation et plus que moyenne.

21 août 2006
par sanosuke


bof bof

Un très bon livre, un casting polémique mais intéressant, Spielberg à la production et Rob Marshall à la réalisation, qui signe son deuxième film après l'excellent Chicago ... Avec une telle distribution, on était en droit de s'attendre à un film exceptionnelle, ce qui n'est guère le cas . Le jeu de Zhang Ziyi manque d'émotion, on est pas ému par ce destin qui s'annoncé fascinant, tout le contraire de la petite qui joue le rôle de Sayuri jeune . Michelle Yeho ne nous ferra jamais croire qu'elle joue une geisha ; reste finalement Gong Li impéccable comme toujours, qui est Hatsumomo . En effet cette dernière a compris toute l'escence du personnage : impèriale, fière, jalouse, cruelle, perfide ... A chaque confrontation avec Zhang Ziyi, cette dernière est eclipsée par Gong Li dont la beauté, la finesse du jeu transcende le personnage d'Hatsumomo et le fait atteindre une dimension tragique . La musique est pas mal du tout, les décors et les costumes sont superbes . Les danses sont magnifiques et montrent surtout que Rob Marshall est excellent chorégraphes, mais pas encore un bon réalisateur . En fait, c'est peut-être lui la plus grande erreur du casting, car il parvient difficilement à diriger des acteurs bons, à l'origine .

01 avril 2006
par X27


J'espère que le livre n'est pas aussi inintéressant que le film.

Car là c'est un bon ratage. A force de vouloir faire des films pour tous (et surtout pour les anglophones) on fait des films qui n'ont vraiment aucun sens. C'est pas avec un tel film que l'individu moyen va se défaire de cette idée que tous les Asiatiques sont les mêmes... L'émotion ne passe pas, sûrement à cause de ce problème d'interprétation et d'anachronisme linguistique. Mais bon si ça se trouve ça aurai fait encore plus bizarre de faire parler japonais des Chinois...

09 mars 2006
par Simon VD


"plaidoyer en faveur de l'intolérance"

Ces temps ci, j'ai pu voir en francais un film américain sur des geishas jouées par des actrice chinoises. Une certaine idée du multiculturalisme dépolitisée en somme (et qui en juste retour a appelé à sa politisation de l'extérieur) qui a eu le don de m irriter en tant que spectateur de cinéma, et qui irriterait encore qui voudrait éprouver un regard au cinéma. Car memoirs of a geisha, c'est le degré zéro du regard, un principe d'indulgence et de pis aller à tout ce que l'on peut voir. Voyez ces geishas, incarnations de beauté et d'élégance. Elles ne sont rien d'autre que Ca. Voila l'assomante tautologie contenue et assénée durant deux heures. La vulgarité et la barbarie la plus certaine (Zhang Ziyi qui vend sa virginité par exemple) est parée du prisme de l'élégance et la noblesse formelle faite geisha. C'est que l'élégance est geisha. Et la geisha élégance. Ca ne s'explique pas; c'est comme ca voyez vous, ca s'accepte, dans un acquiescement forcé (la scène de danse est montée ainsi, pour nous soumettre à cette beauté, entrecoupée de gros plans sur des spectateurs béats). Et y a-t-il de la place pour autre chose que cette rupture entre l'intelligence et son objet? Des miettes, car on ne peut que couper avec force tout ce qui pourrait la menacer. Ce qui reste, des gros plans lorsque les visages sont tristes et des plans de paysage. Comble ultime, cette beauté montrée comme évidence jamais réellement interrogée et sous le regard d'un monde tolérant, c'est l'incarnation même de ce que l'on fuit en s'enfermant dans l'obscurité si précieuse d'une salle de cinéma.

16 mars 2006
par Khanheda


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