A l'écran comme à la ville...
The Lady Hermit devait à l'origine être le dernier film de CHENG Pei-Pei, qui à 25 ans avait décidé de se marier et d'arrêter le cinéma. Du coup, elle est confronté à son héritière, la danseuse Shih Szu, qui n'était alors âgée que de 16 ans. Comme le film raconte a relation maître élève et l'initiation à l'art du combat d'une femme par une autre, l'histoire de ce film, se révélait être également vraie dans les studios, car Cheng Pei-Pei a pris Shih Szu sous son aile, et lui en a fait baver.
Sinon le film est en lui-même un très bon wu-xia-pian, avec de l'action, des galipettes, et des combats très intéressants, même si l'idée générale du film n'est pas très originale. La réalisation est très bien effectuée et ce sans temps mort. On n'a pas le temps de s'ennuyer.
Pour une fois, le casting n'est pas essentiellement masculin, et ce duo féminin donne beaucoup de fraicheur à ce film.
Les décors quant à eux sont magnifiques, et on se croirait presque dans un western.
Avance rapide...
Qu'est-ce qu'on retiendra des Griffes de Jade? Sûrement pas ses gros zooms brouillons. Pas non plus l'absence de photographie digne ce nom. Même pas Cheng Pei et Lo Lieh qui s'en tirent correctement mais ont eu de plus grands rôles. Et certainement pas un début de film tout sauf captivant. Quoi alors? Un peu de la naïveté qui fasait le charme du cinéma populaire HK jusqu'en 1997 déjà. Et surtout le fait que si comme Miike Ho Meng Hua n'a pas assez d'idées Bis pour remplir un long métrage il en a assez pour remplir un demi-long métrage. Ce qui est toujours mieux que le réalisateur d'Audition et ses films qui feraient de grands courts métrages. Petit inventaire non exhaustif dans le désordre. Une sabreuse qui se bat en usant d'un fouet. Une scène de pont en forme d'Indiana Jones et le temple maudit sous acide. Un lancer de chat. Des fumigènes colorés pour simuler un incendie. Un bad guy grotesque se touchant la barbe et armé des griffes du titre. Des cris et des vols planés ridicules. De la violence drôle parce qu'irréaliste et exagérée. Soit du set de table qui s'encastre dans les têtes et des yeux crevés portés par des effets spéciaux cheap. Le bad guy mentionné plus haut se battant aves des couteaux plantés dans le front. Et le fait qu'après avoir saboté le potentiel scénaristique de son trio amoureux le film décide enfin de se consacrer seulement à de l'action jouissive sur la fin. Associé à une mise en scène faisant souvent dans le service minimum artisanal correct, tout ceci suffit à faire un divertissement de bonne tenue mais pas un grand film. Tout au plus un wu xia pian bon pour une soirée packs de bière à condition d'avoir le doigt près de la touche avance rapide de la télécommande...
Bon wu xia Shaw Brothers, entre esthétisme et kitsch
Lady Hermit est un film intéressant, car symptomatique du style du studio Shaw. Ou plutôt des styles du studio, de ses plus grandes qualités comme de ses plus grands défauts. Le film mixe le chaud (principalement) et le froid (minoritairement) pour délivrer un divertissement plaisant, mais qu'on ne qualifiera qu'abusivement de chef d'oeuvre.
Premier écueil dans lequel le film tombe, le scénario bateau, disons même paquebot dans ce cas: une "grand maître" qui ne veut plus se battre (on se doute bien que d'ici la fin du film elle aura décimé la moitié de la population de la Chine), une jeune artiste martiale fougueuse qui veut devenir son élève, un méchant très méchant qui veut la faire ressortir, un petit triangle amoureux pour ajouter un peu d'émotion, et c'est parti. Vu, revu, rerevu. Pas forcément mauvais pour autant, mais aucune surprise à signaler. Surtout que les personnes sont assez sommairement brossés, le méchant particulièrement, avec ses 10 minutes de présence à l'écran. Les dialogues sont également peu passionnants, pour ne pas dire pas du tout, l'histoire est linéaire, sans surprise. Bref, à ce niveau, c'est caricatural au possible. Cela a son charme parfois, notamment lors des scènes romantiques où la jeune apprenti joue très bien l'ingénue face à Lo Lieh. Mais globalement, la première moitié se suit sans désintérêt mais sans intérêt non plus.
Ce problème scénaristique est toutefois contrebalancé par des qualités techniques certes relatives, mais bien présentes. On connaît surtout le réalisateur pour ses films bis de la fin des 70's, la qualité de la réalisation est donc une bonne surprise. On n'égale pas King Hu, attention, les premiers plans montrent déjà les approximations de la mise en scène, mais l'utilisation massive d'extérieurs donne au film un cachet certain comparé aux dizaines de décors un peu cheap de certains films de la Shaw, et surtout on sent une volonté de faire des plans soignés. Les combats sont également bien mis en scène, bien chorégraphiés, surtout pour l'époque. Les plans séquences s'enchaînent, la vitesse légèrement accélérée des séquences donnent une grosse énergie à l'ensemble, le montage est une des plus grosses qualités du film. Rarement on a vu les "astuces" de l'époque présentées de manière aussi correct. Les sauts à l'envers et autres envolées câblées étaient souvent pauvrement mis en scène à l'époque (Chang Cheh ne dirait pas le contraire), mais le talent du monteur conduit ici à une intégration à moindre mal dans l'action. Il faut voir Sisi grimper en haut de la tour à la fin du film pour comprendre toutes les astuces employées par le monteur et le réalisateur.
L'action est justement le gros point fort du film, notamment lors d'une dernière demi heure assez jouissive, où l'on constate que les américains n'ont rien inventé finalement: Scharzie et son arbre sur l'épaule dans Commando, lopette, Cheng Pei Pei l'avait déjà fait, et Spielberg qui fait la mariolle avec son pont suspendu dans Indiana Jones, copieur, sa scène ressemble fortemment à celle du film. Laquelle viendra aisément battre celle de son successeur au niveau fun grâce à ses effets spéciaux très spéciaux, le playmobil tombant dans une bassine d'eau ayant quelque chose d'assez unique. Toutes les effets spéciaux du film sont d'ailleurs complètement anti-datés et d'autant plus fun. PLus globalement cette dernière demi heure donne lieu à une succession de combats très sanglants comme les fans les aiment: 3 contre 100, on ne discute pas, on tranche dans la viande.
Quant aux acteurs, ils s'en tirent bien, le trio principal se montrant à l'aise dans ses rôles. Cheng Pei-Pei joue la désinvolture aussi bien que la souffrance, et Sisi surjoue ce qu'il faut dans le rôle de l'ingénue de service. Lo Lieh hérite d'un rôle pûrement fonctionnel (il est là pour permettre au triangle amoureux d'exister), mais il le remplit de manière professionnelle. Pas de rôles marquant donc, surtout avec des dialogues aussi plats, mais pas de grosse faute de goût à ce niveau non plus.
Au final, il faut accepter la première moitié très (trop) classique et manquant un peu de surprises pour pleinement profiter du final délirant. Ce Ho Meng Hua rappelle que ce réalisateur n'a pas été qu'un auteur de nanars mais qu'à une époque, il soignait ses réalisations et délivrait des divertissements de très bonne tenue. Lady Hermit mixe ce qui faisait le charme de la Shaw, à la fois les délires complètement bis des effets spéciaux ratés et des combats délirants, et le charme des films en costume sur fond de paysages envoûtants. Bref, Lady Hermit c'est un peu du canard à la confiture de fraise, salé sucré, cheap et soigné, lent et rapide, le savoureux mélange des opposés.
Dernière demi heure recommandée
Sacré
Ho Meng Hua ! Tu nous feras toujours rire. Spécialiste des films de genre sans grande prétention qui tiennent juste honnêtement la route par leur petit festival de scènes abracadabrantes devenues fortement bis avec l’âge, il semble avoir quelques moyens supplémentaires ici pour pondre un wu xia à même de sortir du lot assez énorme dont regorge la Shaw Brothers.
Cheng Pei Pei est dans la place déjà, sa dernière prestation avant sa longue pré retraite (à 21 ans !) et son futur mariage aux États-Unis. Elle joue une maîtresse redoutable et redoutée, la Lady Hermit, qui fait tout ce qu’elle peut pour rester discrète le temps de se rétablir de sa dernière confrontation avec son rival de toujours, le maître aux griffes de démon. Elle aime de plus en secret
Lo Lieh, jeune écuyer naïf voir assez quelconque. Sur ce, une jeune donzelle armée d’un fouet débarque en ville à la recherche de Lady Hermit, convaincue que la réputation de cette grande maîtresse l’aidera à devenir très forte.
Hsih Szu incarne ici pour la première fois une héroïne martiale, rôle principal qui lui permettra de prendre la relève suite au départ de Cheng Pei Pei. Elle est mignonne la petite Shih Szu avec ses moues de bébé pas content, ses joues potelées, sa peau fraîche et son petit sourire enfantin. Plutôt agréable aux premiers abords pour un premier grand rôle, elle cache difficilement un jeu à l'étendue encore limitée. Le jeune Lo Lieh joue lui un écuyer paisible qui manie à l’occasion le sabre. En gros, son seul vrai mérite est de pouvoir s’attirer les faveurs des deux jolies poupées qui tiennent l’affiche. A côté de ça, rarement on l’aura vu avec aussi peu de relief et de charisme… Les relations entre ce trio à l'affiche sont du reste franchement succintes.
La première heure de Lady Hermit n’a rien de vraiment mirobolant, et le scénario bien que plus recherché que la traditionnelle vengeance reste dans une norme peu surprenante : la jeune fougueuse qui cherche l’enseignement de la vielle louve expérimentée qui elle tient à se faire discrète. Le trio amoureux constitué avec Lo Lieh est du reste bien pâlot et manque de relief (mattez Thundering sword pour voir Cheng Pei pei vraiment amoureuse). Le tout se passe dans un village enclin à des manigances douteuses qui devraient affiner l’ambiance si elles étaient mieux mises en valeur. En effet, un clan venant d'un château lugubre ebvironnant fait payer des charmes à la population pour qu’elle se protége de soit disant attaques de fantômes nocturnes, des pseudo fantômes dont on ne voit à peine la queue d’un ce qui est déjà décevant. Plus décevant encore, pas l'ombre d'un méchant charismatique à l'horizon avant le final.
Que retenir de cette première heure honnête mais loin de casser la baraque alors ? Une jeunette dynamique qui fait tout pour être l'élève de son modèle (mouais, sans surprise). Une petite ambiance western qui pointe par moment avec une cariole qui roule sur une musique bien typique (mouais, anecdotique). Une originalité dans le montage bien nerveux des quelques combats qui la parsèment avec des accélérations pas discrètes et de beaux transpercements de bonzes qui confèrent un dynamisme assez inédit mais somme toute artisanal (mouais, pas assez exploité). L'atout principal reste la fraîcheur naturelle de Cheng Pei Pei (néammoins moins belle et habitée que dans Come drink with me ou Thundering sword) et de Shih Szu et surtout une dose de quelques idées bis bien montées qui font déjà doucement rigoler. Cheng pei pei qui s'accroche au plafond ou qui expose sa nouvelle technique à Shih Szu par exemple.
Elle lance un chat en l’air, celui-ci retombe sur ses pattes et détale vite fait à toutes enjambées, puis Cheng Pei Pei se penche et ramasse à ses pieds le même chat qui ne semble pas avoir bouger d’un iota !
Autre passage qui vaut son pesant, Cheng Pei Pei donne un seul coup de hache dans un arbre, et vlan, "timbeeeer !" L’arbre entier tombe net, et elle le porte tranquille sur ses épaules !!!
Dernier exemple, plutôt que de faire brûler le décor du chateau comme Chang Cheh n'hésite pas à le faire dans Golden Swallow et bien d'autres, Ho Meng Hua utilise juste un peu de fumigènes rouges et noirs pour simuler le gigantesque incendie. Sacré Ho meng Hua !
Cette agréable petite saveur bis est le principal intérêt de cette première heure qui manque honnêtement de rythme, de fond (les personnages notamment) et plus gravement encore de rebondissements dignes de ce nom. A plusieurs reprises, une traîtrise, un retournement de situation quelconque, bref un twist même léger caresse l’espoir d’apparaître… Mais non, c’est Ho Meng Hua ici, pas Chu Yuan, le récit est linéaire au possible, les personnages pas franchement implicants. De même, la mise en scène est encore loin d’atteindre une quelconque magnificence propre aux grandes œuvres de la Shaw. Ho Meng Hua reste un faiseur honnête et dynamique mais sans génie aucun. Les décors en extérieurs n'ont rien à envier à un wu xia du même genre tel que 12 Gold medallions.
Mais Ho Meng Hua est un gars sympa qui n'hésite pas (même si parfois il hésite trop justement) à aller bien à fond dans le délire, et la dernière demi heure de Lady Hermit va radicalement rattraper le tout tel un chat qui retombe sur ses pattes. Plus question de dialogues insipides, place à l’action non stop et quelle action ! Du set de table qui se plante dans le crâne aux baguettes qui arrachent les yeux en passant par les corps généreusement transpercés, la violence gratuite et la nervosité goutue du montage prennent place et déjà le spectateur amateur se sent beaucoup mieux. Combat dans une auberge donc, totalement "out" suivi d'une escapade à ne surtout pas manquer, et un autre combat en simultané dans une forêt embrumée, pour finir sur un dernier morceau de bravoure rappelant la tour finale de Have sword will travel en plus improbable encore, où Cheng Pei Pei et Shih Zsu, de plus en plus éreintées, blessées, charcutent comme des lionnes… Je n’en dirais pas plus mais cette dernière demi heure assure la rédemption sans aucun problème. Pour indice, ne cherchez plus d’où vient la scène de Indiana Jones et le temple maudit sur le pont suspendu… Elle vient de Lady Hermit !!
Ah ! La jeunesse !
"The Lady Hermit" est ce genre de petit plaisir estampillé "Shaw Brothers" conçu avec soin, sans autre prétention que de divertir sans niveler la qualité d'ensemble vers le bas. La direction artistique mêlant studio et environnement extérieur est agréable, l'histoire classique et correctement rythmé par des scènes d'action à l'épée (un peu de fouet aussi). L'intégralité du casting est impeccable à commencé par Shih Szu (incarnant la petite Tsui-Ping) que je découvre ici. Elle forme un trio tout mignon avec Cheng Pei-pei et Lo Lieh tirant les séquences hors combats vers le haut. Ces derniers se montre suffisamment nombreux et bien réglés. N'y cherchez pas des chorégraphies à la Samo Hung, Yuen Woo-ping et consorts, "Les Griffes de Jade" étant réalisé en 1971. Elles n'apparaitront qu'à la fin de cette décennie en ayant progressé es petit à petit ("The Skyhawk" avec Samo Hung -1974 et "The Iron Fisted Monk" de Samo Hung - 1977 par exemple). Le film sait aussi se montrer violent avec force giclée de sang et diverses parties de corps tranchées. Personnellement, la fin, assez amère m'a plus.
Naïveté + sang qui gicle + Cheng Pei Pei = plaisir!
Sans être un film à grande prétention, Lady hermit est un très bon moment de violence féministe. Le scénario est archi-balisé mais mené avec une décontraction et un sens du bain de sang qui tache qui font plaisir à voir. Les héros ont de la prestance (l'irremplacable Cheng Pei Pei! Lo Lieh, dans un rôle de grand dadais!), les scènes d'action s'enchainent sans faiblir, les décors sentent bon le grand air et les bouffées d'humour badin (Shi Hsu qui boude, Shi Hsu qui drague lourdement Lo Lieh) viennent agréablement relever le tout. Sans avoir la carrure des grandes réussite du genre, on est ici dans une production classique de très bonne facture, portant l'héritage du maitre de la boucherie Chang Cheh pour sa violence cartoonesque.
Un divertissement honnête mais somme toute assez commun et sans relief émotionnel particulier
D'une histoire généreuse à la base, contenant tous les éléments que l'on pourrait souhaiter voir apparaître dans un wuxia digne de ce nom (aventure, romance, initiation, honneur, lutte entre clans,...), Ho Meng Hua ne tire malheureusement qu'un produit de divertissement honnête mais somme toute assez commun et sans relief émotionnel particulier. Rien de réellement rédhibitoire pour le fan de wuxia qui y retrouvera ses habitudes mais, comparé à bien d'autres productions de l'époque et même antérieures (voir par exemple trois ans plus tôt chez Chui Chang Wang le très bon
"Twelve Deadly Coins", également avec Lo Lieh et présentant certaines similitudes quant à son histoire, ou encore son incomparable
"Thundering Sword" de 1968 avec déjà le même couple Lo Lieh - Cheng Pei Pei), il manque ici la petite étincelle d'émotion ou d'originalité de traitement qui lui aurait permis de se démarquer du gros du genre. Bref, si ce film mérite le qualificatif de "classique", ce n'est pas dans son sens le plus méritoire. Reste un film très correct dans la filmo de son réalisateur (il fit bien pire...) mais, pour les adieux de la reine Pei Pei à la Shaw Brothers, on pouvait quand même espérer un peu mieux que cette petite aventure en demi-teinte.
Un Grand Classique
Comme les Grand Classique du western, Les griffes de jade utilise les momments de calme avec autant de justesse que les momments d'action.
Un crescendo inéxorable vers une fin qui vient parfaitement conclure une mise en situation dramatique mener autour d'un triangle amoureux dans une ambiance de "wuxiapian crépusculaire"
Les acteurs sont parfait dans leur role, et Cheng Pei-Pei, absolument magnifique, est magnifié par le rôle et en donne toute l'intensité dramatique.
A voir et à revoir, pour le plus grand bonheur...
Dans 50ans, ce film n'aura sans doute pas pris une ride... C'est le destin des Classiques...
Bon
Cheng Pei Pei faisait ces adieux au cinéma avec ce fameux "The Lady Hermit" et pour un dernier film s'etait un départ en apothéose . Dans ce film, elle est le maitre et passe la main à un disciple très doué, la superbe Si Si . Le scénario est basique mais les acteurs et les combats font mouches .
très très bon wu xia
superbe film de Ho Meng Hua avec un trio d'acteurs (Cheng Pei Pei , Lo Lieh et Shih Szu) en super forme. Le scénario n'est pas mal du tout avec un petit côté de jalousie amoureuse car Lo Lieh est entouré de 2 très belles créatures,et lui n'est pas mal non plus (stop...pas d'insinuation..:o) ) donc vous voyez le topo. Les combats sont très bien chorégraphiés par Liang Shao Sung , un nom qui ne dit pas grand chose (le 1er film que j'ai vu de ce chorégraphe est "the casino" où il m'avait fait forte impression) au milieu de tous ces grands chorégraphes de la "Shaw" mais qui a un certain style assez personel quand il s'agit de tourner des scènes hyper -violentes. Dans "the casino" c'etait des dominos, des dés ou des pièces d'argents qui volaient dans la tête ou dans les yeux des "bad guys". Ici dans ce film, ce sont des bols, des baguettes, des grandes cruches de vin qui s'empallent dans la gorge ou dans le crâne des "méchants", mais il n'y a pas que ca, la créativité des combats est aussi au rendez-vous, ce qui fait de ce "the lady hermit" un excellent wu xia pian. Amateurs de la grande "Shaw brothers" ceci est pour vous, amateurs d'Ekin Cheng , Aaron Kwok , Nic Tsé , les Twins ou autres bambins.... passez votre chemin ceci est un tout autre rayon...lol!
wu xia pian bien éguiser
Ho meng hua nous apporte un exellent WXP,
selon moi ,moins ennuyeux que L'hirondelle d'or,les combats plus dynamique aussi d'ailleurs Lo Lieh en élève qui a pour maitre une "dame"(cheng pei-pei),pari risquer pour cette époque 1972 ou la mode etait les Bruce Lee & Cie.
Alors je lève mon chapeau pour ce WXP qui fini aussi bien par tombé sur ses pattes*
*Technique favorite de l'heroine