Avis Express
Si l’on peut préférer la maestria de la mise en scène des affrontements chez Tsui Hark période Il Était une fois en Chine, force est d’avouer ici la légèreté d’un film sans prétention calibré pour ravir la clientèle en manque de divertissements spectaculaires. Spectaculaires dans le sens « performance » des acteurs martiaux (le reste n’étant que comédie à la cantonaise rigolote mais pas marquante pour autant) qui livrent ici des combats d’une fluidité folle, Jackie Chan en tête particulièrement convaincant dans la peau d’un Wong Fei-Hong foufou tapant sur tout ce qui bouge ou qui nuirait au bien-être de son entourage et de son peuple en particulier. Si chez Tsui Hark on utilise parfois l’altitude pour en mettre plein les yeux, Jackie Chan préfère quant à lui rester les pieds sur terre mais avec des litres de vin dans le cornet pour décupler son art-martial : seul problème, lorsque celui-ci dépasse les limites, il devient en toute logique vulnérable et pathétique. Jackie Chan (et en partie Liu Chia-Liang) évite donc l’abus du procédé facile façon potion magique pour déployer toute son énergie et installer ainsi un peu de réalisme. Si l’histoire n’est pas un sommet du Septième Art (d’ailleurs qui lui demande ?), partant d’un échange involontaire entre une statue et une branche de ginseng qui entrainera alors de sérieux problèmes à Fei-Hong et son père (Ti Lung), l’énergie des affrontements l’emporte sur tout : les personnages caricaturaux monstrueux de la brute épaisse armée de chaînes au businessman smoking/jambe folle, et les capacités martiales exceptionnelles de Jackie Chan apportent tout ce qu’il fallait au divertissement kung-fu ici au-dessus du lot. Un spectacle total, enlevé et léger comme Jackie.
Un
sacré film qui vous incitera à vous méfier des hommes saoûls
dans la rue. Le concept du Drunken Master (pour ceux qui n'ont pas la science
infuse) est celui d'un combattant qui est un maître des arts martiaux...
quand il est rond comme une queue de pelle. Concept très simple à
appréhender, mais beaucoup plus dur à interpréter. Et là,
Jackie sort le grand jeu, positions impossibles, rires crétinoïdes
et combats insolites pour les habitués.
Assortie avec une galerie impressionnante de rôles secondaires avec
Ti Lung et Liu Chia-Liang qui montrent que eux aussi savent encore se battre,
même s'ils représentent la sagesse dans ce film, alors que Jackie
est la jeunesse incontrolable. Rappelons que Jackie avait facilement 40 ans
(aller voir le Monde
de Jackie Chan pour la date exacte), et que comme Leslie
Cheung il peut jouer des personnages jeunes grâce à son athlétisme
et à sa jeunesse de visage devant la caméra.
Il est difficile de parler de ce film car il est très riche, c'est un
film qui se vit, qui se respire (prévoir des fauteuils solides).
Bel exploit physique de Jackie Chan qui nous gratifie d'une choregraphie plus dynamique que dans le premier opus. Quelques scenes remarquables, mais dans l'ensemble une certaine lenteur dans le developpement de l'histoire qui manque un peu d'intensité. Très bonne performance de l'ensemble des acteurs. Agréable à voir mais sans réelle envergure.
Cette suite du Maître Chinois (1978), qui proposait en son temps une suite de combats tous très bien chorégraphiés mais sans grand souci de fond, est autrement plus convaincante. Plus de vie, plus de moyens techniques et financiers, plus d’humour et un scénario un peu plus élaboré. Même ceux qui ne sont pas des grands fans de Jackie ne pourront nier sa formidable faculté à se démener pour faire exister un rôle pas du tout évident sur le papier. De là à crier au chef-d’œuvre, n’exagérons pas, mais force est de constater que ces 80 minutes passent très vite tout simplement parce qu’on ne s’ennuie pas une seconde. Spectaculaire et très amusant.
Attention,
chef d'oeuvre du film d'art martiaux. Tout est simplement parfait. Les combats
sont bonnement dantesque par leur maestria et leur rapidité, des acteurs
au sommet de leur art avec un majestueux Jackie Chan que ce soit pour le côté
kung-fu que celui de l'humour. Il faut dire que le concept de base permet
de nombreuses fantaisies dont Jackie Chan est friand.
Bien que pouvant être détesté, il reste l'un de mes films
les plus marquants, il est donc nécessaire de le voir, histoire de
voir ce qu'est un Jackie Chan en très grande forme.
Ce film a vraiment tout pour plaire, il reste pour moi l'un des tous meilleurs
films de Hong-Kong toutes catégorie confondues. J'ai vu, après
ce film, le pauvre Claws of steel,
avec un Jet Li reprennant le même
concept du Drunken Master. Connaissant les qualités martiales de Jet
Li, il ne soutient à aucun moment la comparaison avec Jackie Chan,
renforcant encore plus la prestation de ce dernier. Quel acteur, ce Jackie
!
Lorsque Jackie Chan reprend le concept du Drunken Master mélangé à celui de Wong Fei-Hong, figure mythique du kung-fu en Chine, cela donne un pur chef d'oeuvre du film d'art martiaux. La réalisation et la chorégraphie des combats se sont partagées entre Jackie et l'une des légendes de la profession (Liu Chia-Liang). Quelques différents à la fin du film ont valu à Jackie d'être crédité comme seul réalisateur.
En effet, Liu ne voulait pas de scènes comiques où Jackie combat saoul. Mais plutôt des scènes comme celle de la maison de thé, où les deux hommes combattent une centaine d'adversaires armés de machettes. Résultat, comme Jackie voulait faire de la comédie et qu'il est toujours très omnipotent sur ses films, il a décidé de se séparer de Liu et de finir le film tout seul. Miraculeusement, le résultat est merveilleux. Crime Story, autre film où Jackie a repris les rennes, est excellent aussi mais on sent plus les coupes et les modifications apportées. Ici, que nenni, personnellement, je trouve le film que c'est le "kung-fu comédie" parfait :
Le casting est impressionant: Liu Chia-Liang est encore en grande forme malgré son âge et a apporté sa science des arts martiaux pour chorégraphier les combats. Je trouve Anita Mui fabuleuse bien qu'elle ne se batte pas. Mais elle emporte le morceau grâce à une interprétation truculente qui en fait LA force comique du film. Ti Lung possède un passé cinématographique très conséquent qui lui confère une certaine prestance et Jackie, ah Jackie, il est tout bonnement fabuleux. Je ne vois absolumement aucun autre acteur capable de jouer ce film à sa place. Se battre, c'est toujours faisable, mais en jouant un combattant complètement saoûl, c'est autre chose...
La co-réalisation est un modèle du genre, qui nous permet de profiter pleinement des magnifiques combats. La reconstitution est elle aussi au rendez-vous, avec beaucoup de décors d'époques. L'aspect historique n'a pas été oublié, puisque classiquement Fei-Hong combat pour son pays et pour éviter que ses trésors partent à l'étranger. Le mélange des genres est aussi présent, avec l'importance de la préservation du patrimoine culturel chinois, et la notion d'honneur pour Wong Kei Ying (Ti Lung), honteux d'être déshonoré par son propre fils et qu'il désavoue et bannit dans une scène étonnament dramatique. Le passage de scènes comiques bien cantonaises (style Anita Mui qui explique à Ti Lung que si on boit trop d'eau on risque de faire pipi de la rouille....) à des moments graves risque de décontenancer le spectateur plus habitué aux récentes comédies internationales de Jackie, mais les grands films HK sont rarement accessibles et c'est aussi pour ça qu'on les aime. C'est donc bien plus qu'un classique Jackie-Show, qui, sans attendre la perfection du mélange des genres de Il était une fois en Chine, valse agréablement dans tous les sens.
En bref, s'il ne fallait voir qu'un film de kung-fu comédie, ce serait celui-ci. L'opus précédent possède plus de combats, mais ils sont moins efficaces au niveau comique, et le film accuse un peu son âge. Les moyens n'étaient pas les mêmes non plus.
Rencontre au sommet entre Ti Lung, Liu Chia Liang et Jackie Chan = une perle. Le seul bémol où je rejoindrai Chibi J, c'est l'unité de lieu, je m'attendais à un grand voyage en voyant le train du début, mais non.. Le réalisateur Liu Chia Liang préfère comme toujours une sorte de cocon restreint propice à l'apprentissage de la voix martiale.
Ce petit caprice mis à part, rarement la comédie et l'action n'avaient été mené avec autant d'entrain et de réussite. De plus, Combats de maîtres se voit très bien plusieurs fois. La meilleure kung fu comédie de Liu Chia liang (peut-être aussi parce qu'il ne l'a pas entièrement réalisé) voir même la meilleure kung-fu comédie tout court.
Une suite aisément supérieure au premier, qui déjà était d'excellente facture pour l'époque. Ici tout est mieux : plus de moyens, plus d'intensité dans les combats, plus d'humour, notamment grâce aux rôles secondaires comme la belle-mère de Fei-Hong, interprétée par une Anita Mui en grande forme, et surtout, un Jackie Chan littéralement impressionnant. Incroyable acteur, incroyable combattant. C'est simple, aucune autre personne au monde n'aurait pu le remplacer pour ce rôle. Des excellents acteurs combattants, il y en a bien sûr. Des drôles, déjà moins. Des capable d'une telle maîtrise dans les combats tout en jouant le mec bourré, il n'y en a qu'un, et c'est Jackie. Avec un combat final qui restera à jamais gravé dans les annales comme le combat le plus hallucinant de l'histoire du cinéma.
alors commencons par le casting: liu chia liang aux commandes avec jackie.jusque là on se dit ouais pas mal ensuite on a anita mui, ti lung (j'adore:)...ouais et jackie en fei hung alors là je me dis lui en maitre wong fei hung!? je regarde et je me dis que c'est un acteur fabuleux:) la technique du drunken boxing est superbement orchestrée ( pas comme le vieux passage dans claws of steel lol) et un final que j'ai regardé au moins 30 fois entre jackie et ken lo qui est un combattant hors paire et on en a la preuve ici. bref très bon film surtout que le dvd francais existe (qualité assez bof aucun bonus) et vraiment pas cher...
Sans hésiter le meilleur de tous les Jackie Chan réunnis. Tout y est, tout est parfait. Scénario béton, réalisation nickelle, combats hallicinants, variés et très drôles. Acteurs impeccables (Anita Mui, Ti Lung et Liu Chia Liang). Jackie est au Top de sa forme. Très emouvant et très drôle. Je n'ai pu m'empêcher de pleurer de joie après l'avoir vu. UN FILM DE KUNG FU PARFAIT. Ma séquence préférée : Jackie et Liu Chia-liang affontant le clan armé de haches dans le salon de thé. Elle est magnifique et superbement bien montée. Allez hop... un petit retour rapide. Je la regarde en boucle.
Merçi Jackie Chan. Merçi Liu Chia Liang.
sequence je raconte ma life : Samedi mes neveux de 10/11 ans sont venus bouffer chez moi et comme toujours on a mater un ptit dvd alors je leur propose un Jackie Chan, et là drame y me sorte que c'est tout pourri :shock: non mais ça va pas !!! J. Chan c'est pas nul !!! enfin c'etait pas nul car depuis 10 ans c'est de la grosse merde en boite.
Mais voila avant de partir au EU, Chan il a fait une quantité de film culte ( oui oui culte ) à HK et Drunken Master 2 en est un des plus beau exemple !!!!
Bon les incultes en ciné asiat ni verrons qu'un film de Kung fu de plus !! mais c'est bien plus que ça, ce film n'a rien a envier à Crazy Kung Fu ou Hero ( ça c'est les references pour ceux qui y connaissent que dalle ).
Chan incarne ici le legendaire Wong Fei Hung ( autrefois interpreté par Gordon Liu ou Jet Li ) dans une comedie kung fu parfaitement maitrisé de bout en bout.
OUI ce film est une BOMBE !!!!! Il a été coréalisé par Chan et le legendaire LIU Chia-Liang qui malgré son age avancé nous livre en plus une magnifique performance !!!!
En plus ces 2 là on retrouve une Anita Mui en pleine forme et un Ti Lung au charisme toujours intact. Bien sur le scenario est tres simpliste, mais bon on s'en fout un peu là. Le film n'est même pas gaché par une VF d'un niveau assez incroyable ( Hokuto no Ken powa là ), d'ailleurs y sont bien gentil HK de nous sortir les premiers films de Chan tout pas bien, faudrait ptet ce pencher sur ce Drunken Master 2 qui a une edition toute pourri avec une VF et une qualité d'image pourri.
Le gros atout du film est bien entendu ces nombreuses scenes de combats tout plus maitrisé les unes que les autres, c'est bien simple on a jamais vu Chan aussi bon dans ces scenes et toujours aussi fou ( voir le generique final ou comme dans tout ces films on peut voir les cascades qu'il fait lui même, ici le passage sur les braises est assez hallucinant ), la combat de l'homme ivre est un MUST !!! le tout est magnifiquement filmé : pas de surdecoupage, du plan sequence, c'est pas filmé pres des corps, enfin un film que beaucoup de realisateurs devraient voir pour comprendre comment on filme et on monte des scenes de combats.
A la fin du film mes neveux ont dit " tin c'est trop bien JAckie Chan" Bein oue ça claque !!!
La suite de "Drunken Master" 16 ans après le premier. Jackie Chan a pris des rides mais sa forme physique est encore au top. Les combats sont nombreux et superbement chorégraphiés par Liu Chia-Liang !
Si l'histoire était moins banale (ennuyeuse), si Jackie faisait moins le pitre (il a passé l'âge), et si "l'humour" faisait sourire, cela aurait été un must.
A voir pour les combats !
Je tiens à féliciter les belles scènes de combat de Jacky Chan jouant au drunken master. On a l'impression qu'il a une aisance à tenir ce rôle qui n'est pas si facile à jouer que ça. En effet, ce kung fu est très physique, il doit se glisser dans la peau d'un saoul. CHAPEAU !
Anita Mui joue la comédie et ça lui réussi bien parce que franchement quelle comique alors celle-là!!!
un film superbe, les meilleurs combats au monde, jackie dans son meilleur film, Liu Chia-Liang choregraphe, ti lung, anita mui ...
Need i say more ?
Un joyau (LE joyau ?) du ciné kung fu !
Jackie excelle dans ce film, il est vraiment trop impressionant lorsqu'il se bat en utilisant la technique de l'homme saoul, je ne sais pas si il y a beaucoup d'autres artistes martials pouvant effectuer cela. On a l'impression qu'il est vraiment ivre quand il se bat et c'est vraiment impressionant à voir. Ti Lung est géant aussi, quant à Anita Mui je serais un peu plus reservée sur sa performance, parce qu'elle en fait un peu trop des fois, néanmoins dans l'ensemble elle délivre quand même une interprétation correcte.
L'histoire, il n'y en a pas vraiment, sauf à la fin où Jackie va essayer d'empêcher les méchants anglais de piller le pays de ces monuments.
Bon, je me dois aussi de parler des combats qui sont vraiment le très gros point fort du film. Toutes les scènes de combats du film sont excellentes et vont crescendo au niveau de la qualité tout au long du film pour arriver à un final de folie d'une quinzaine de minutes se déroulant dans une usine. Ce final est comment dire, splendide, ahurissant, anthologique et j'en passe, il faut le voir pour le croire, j'ai rarement vu aussi bon dans la catégorie combat non cablé. Dans ce dernier quart d'heure, il y a du Jackie contre plusieurs, du un contre un, du combat sérieux et du combat avec Jackie en homme saoul et surtout on a un Jackie qui donne de sa personne, le nombre de fois qu'il sait fait brûler le pauvre... Et le combat entre Ken "jambes d'acier" Lo et Jackie est vraiment dantesque, c'est vraiment le top du top . Ce film est un incontournable.
C'est le film que je recommande systématiquement à celles et ceux qui veulent découvrir les films de Jackie Chan. Les scènes d'actions sont magnifiques, les scènes d'humour bien marrantes et l'ensemble est moins niais que la plupart des autres Jackie des années 90.
Lorsqu'on regarde bouger Jackie Chan (c'est-à-dire marcher, courir, sauter, agiter bras et jambes - Jackie Chan ne reste jamais immobile), on pense à Douglas Fairbanks, à Buster Keaton, à Harry Langdon, à tous ces grands pantins désarticulés de l'histoire du cinéma. Tous ces pantins qui ont réussi à inflichir son histoire d'une représentation des corps à l'image, vers une habitation de l'image par les corps. Lorsque Jackie Chan réalise une de ses cascades champ/hors-champ (par exemple en pénétrant une fenêtre ou en disparaissant derrière un mur), c'est toute la notion d'image qui se met à trembler : où commence-t-elle, où finit-elle ? Y a-t-il quelque chose derrire l'écran ? Dans les sérials de Feuillade (surtout Fantomas et Les Vampires), les portes s'ouvraient et se fermaient sur le vide du studio. C'étaient des portes de décor. Cela se voyait. Avec Jackie Chan, c'est un peu la même chose : on a beau savoir que cela pourrait être vrai, sa guestualité acrobatique le dément - non, vraiment, tout ceci est impossible. Impossible, mais vrai. Comme la disparition de Fantomas par une porte cachée dans un mur (que seuls Juve et Fandor ne voient pas : les spectateurs aperçoivent distinctement sa découpe dans le mur en carton). Et d'une certaine manière c'est cela, le cinéma : une machinerie truquée où tout ce qui est vrai pourrait ne pas l'être, et inversément. C'est ce doute naïf qui le fait fonctionner. Jackie Chan aussi, d'une certaine façon, est un naïf. Sa naïveté, c'est le mouvement. Le cinéma, c'est le mouvement.
bravo. le meilleur film de jackie que j'ai vue
un tres bon film, de superbe combat.
et ce qui est le plus beau , le combat final!!!
au niveau acteur, pas mal non plus.
tout est superbe dans ce film
bravo encore
Aiya! Que pourrais-je dire face à tant de maîtrise et de classe. Hommage évident aux films de la Shaw Brothers (la scène du salon de thé avec les dix milles hommes de main armés de haches), Drunken Master II est l'apothéose du film de kung-fu classique reprenant toutes les meilleurs recettes sans pour autant gater la sauce.
Je n'ai qu'un reproche à faire à ce film: l'apparition inutile (je n'ai rien contre lui) d'Andy Lau.
Les combats sont JUBILATOIRES!
Beaucoup de personnes font de ce film un véritable chef d'oeuvre, il est vrai qu'il est très divertissant et que Jackie Chan trouve ici un de ses meilleurs rôles, mais je ne pense pas qu'il puisse tenir la comparaison avec des films tels que Iron Monkey ou les "il était une fois en Chine".
Cela dit, je le conseille vivement, surtout pour son combat final, tout simplement ahurrissant.
Tout y est. Narration exemplaire, chorégraphies au top. Jackie est insurpassable quand il s'agit de cinéma populaire. Toujours en adéquation avec le public, et pas qu'avec son public, il ne faut pas s'étonner qu'il se maintienne en tete du box office
Un film qui s'illustre autant au niveau des cascades qu'au niveau des talent des acteurs! Un film très sympa à voir, très rigolo, et les chorés très bien faites. Il faut que la touche d'Andy Lau n'est pas passé inaperçue!
Sacré Jackie Chan, y'avait que lui pour interpréter un rôle pareil... On est loin des OUATIC pour ce qui est de la mise en scène, mais les combats sont très biens (pas dans le même genre, forcément...), et le tout est très divertissant...
Seule ombre au tableau : un peu court, tout de même, on en redemande - heureusement que les suites sont là pour ça :)
16 ans apres le premier episode, drunken master2(combats de maitres) depasse tout ce qu'on peux imaginer memes les plus sceptiques de mes amis sur le ciné hk on plier ils avaient jamais vu ça quel régal..combats de maitres?tout simplement un film de maitres.
Oui ça reprend le style kungfu comédie d'époque des débuts de Jackie Chan, c'est assez rafraîchissant en cela. Oui le comique de situations fonctionne assez bien (surtout grâce à l'excellente prestation d'Anita Mui alors que Ti Lung m'a laissé de marbre) mais ça tire par moment en longueur (je pense à la scène où Ti Lung gronde sa femme et son fils Jackie Chan, ça devient lourd). Oui les combats sont assez admirables mais bizarrement pas toujours lisibles.
Humour potache, vulgaire et insipide. Ce film prévaut seulement dans sa démonstration de la technique de l'homme bourrée. Non, franchement Drunken Master II ne m'a pas fait rire du tout, et il m'aurait pluto donné envie de pleurer. Heureusement pour eux que le ridicule ne tue pas. En effet, les scènes d'action sont réussis si ce n'est l'humour incorporé dans les chorégraphies, mais cela n'aide pas à relever le niveau du film. La dextérité de Jackie Chan est affuté, mais je fus quand même très déçu de ce film.
Impossible de me lasser de ce film, Jackie a un pur style avec sa boxe de l'homme saoul.
C'est superbement chorégraphié, ça bouge à 100 à l'heure...une référence.
Ce film est mon préféré dans le style Kung-FU avec Iron Monkey (1993).
Voici sans aucun doute possible le plus grand film de Jackie Chan. Avec ce film, Jackie effectue un retour aux sources des plus enjoués et des plus réussis. Un humour ravageur couplé avec une maitrise des combats hallucinante. Pas une scène de baston ne ressemble à une autre. Tout s'enchaine avec un contôle de la situation que je qualifierai de tout simplement magique. Enfin un autre Jackie Chan à revoir encore et encore...
A mille lieux du wong feihong interpreté par jet li,jackie s'éclate et éclate les autres dans tous les sens du termes,rend la boxe de l'homme ivre passionnante.Anita mui est fantastique.
Ce film est une anthologie!!
A voir.
Chan exelle dans ses deux arts: la comédie et le combat,l'équilibre de ces deux tel un yin et un yang en font un must.
Si un homme averti en vaut deux, qu'en est-il d'un drunken master qui a chopiné ? Jackie Chan vous le démontre à merveille dans ce très bon divertissement où la réussite du mélange de genres (action, humour, fresque historique) n'a d'égal que l'efficacité ultime de séquences de combat rivalisant sans peine avec les plus impressionnants morceaux de bravoure de certains Yuen Woo-Ping (Iron Monkey, Tiger Cage 2, In the Line of Duty 4). Cinématographiquement parlant, le film reste toutefois en deçà d'un Il était une fois en Chine, référence inégalée en la matière avec laquelle il partage le point commun d'illustrer une aventure – plus ou moins fictive – du célèbre Wong Fei-Hung mais dont il n'a pas la même densité dramatique et la même cohésion parfaite. Reste qu'on sort franchement enthousiaste de ce kung-fu movie au rythme trépidant, aux cascades ultra-spectaculaires et aux acteurs qui pètent le feu (mention spéciale à Anita Mui, splendide de pittoresque dans le rôle de la mère de Fei-Hung). Une excellente série B qui mérite assurément son titre de classique du genre.
Un très grand film de Jackie Chan félicité par toute les critiques mais auquel il manque quand meme quelques cascades mais surtout un peu humour;de plus le film est plutot statique et on s'attendrait en voyant la premiere scène dans le train à une diversité de lieu et de décort(un genre de road movie comme les anciens films de kung fu).Toutefois On ne s'ennuit pas une seule minute et l'action est au rendez-vous:les combats s'enchainent les uns apres les autres tous aussi stylés jusqu'au magnifique combat qui oppose Jackie Chan a Ken Lo !"Drunken Master II" reste un film incontournable ainsi que l un des derniers films de jackie Chan 100% HK;évidemment c un film a voir!
Pour les détracteurs de films d'arts martiaux ou de Jackie Chan, et surtout pour les fans de bons films, Drunken Master 2 est à voir absolument. Somptueux mélange de comédie, de drame, de conte social et d'action, ce film réussit le pari difficile de reprendre le personnage de Wong Fei hung après le remaniement opéré par Tsui Hark dans le génial "Il était une fois en Chine", et de s'en différencier, tout en atteignant presque le niveau de la saga.
Si le côté croisée de destins et l'aspect historique sont moins intéressants, les relations humaines entre fei hung et ses parents sont touchantes et amusantes. L'alchimie entre Anita Mui et Jackie est à son apogée, et Ti Lung (excellent comme d'habitude) nous offre l'une des plus belles interprétations de Wong Kei Yin, sévère et digne. Le comique de situation fait souvent mouche, et alterne brillament avec les combats, pour finalement laisser la place à une intrigue plus sérieuse, plus engagée, et surtout plus impliquante.
Chaque affrontement est une merveille de précision, de grâce, d'énergie et d'inventivité. Facile de dire que Jackie signe ici ses plus beaux combats, et facile de regretter cette époque, et sa collaboration avc Li Chia Liang. Mais une critique ne peut pas rendre justice à l'énergie et les nombreuses qualités de cette oeuvre, à voir absolument!
Lorsque Jackie Chan décide de donner une suite à Drunken Master, un de ses premiers succès qui est un incontournable de la Kung-Fu comédie, cela fait déjà presque quinze ans qu'il n'a plus touché au pur film d'arts-martiaux. Il s'était en effet spécialisé depuis le début des années quatre-vingts au cinéma d'action contemporain où il associait courses poursuites et cascades à son talent unique d'homme élastique.
En reprenant son personnage de Wong Fei-Hong, qui fût interprété entre temps par Jet Li dans la saga de Tsui hark Il Etait Une Fois En Chine, Jackie Chan veut retrouver l'esprit des véritables Kung-Fu d'antan et fait donc appel au maître du genre, Liu Chia-Liang, qui est tout simplement LE plus grand réalisateur de Kung-Fu Comédy.
Ayant déjà réalisé un épisode mettant en scène Wong Fei-Hong (Le Combat Des Maîtres), Liu Chia-Liang enchaîna à la fin des années 70 une série de films excellents, où la mise en scène s'accordait parfaitement aux chorégraphies démentielles de son auteur. My Young Auntie, Dirty Ho, Mad Monkey Kung-Fu font parti des perles du genre de ce génie au style inégalé. Mais depuis son dernier chef-d'oeuvre en 84 (le terrible 8 Diagram Pole Fighter), il n'a lui non plus touché au Ciné Kung-Fu et c'est même compromis dans divers nanars (de Mad Mission 5 à Tiger On The Beat).
La rencontre de cette légende vivante (il est un descendant du véritable Wong Fei-Hung) avec la star la plus populaire d'Asie, ne pouvait donc qu'aboutir à un film unique en son genre, un véritable best-of du cinéma d'arts martiaux où Jackie Chan, à plus de 40 ans bouge, combats, virevolte comme si il en avait 20.
Mais Drunken Master II n'est pas tout à fait le film de Liu Chia-Liang, qui s'est fait gentiment remercié par la star qui trouvait que sa manière de filmer était plutôt daté. Au final, plus d'un tiers du film fût retourné par Jackie Chan en personne.
Drunken Master II n'est pas vraiment une suite directe du Maitre Chinois, et son personnage de Wong Fei-Hung est encore moins mature que celui interprété par Jet Li. Habitant encore chez ses parents, Wong Fei-Hung est un jeune homme très complice avec sa mère (Anita Mui, sa partenaire de Miracles), joueuse de majhongs invétéré qui n'hésite pas à encourager son fils à se saouler pour qu'il puisse utiliser sa fameuse technique du "Drunken Boxing" (la boxe de l'ivrogne), pour mettre la pâtée aux brigands. Par contre son père (Ti Lung, impeccable), plutôt sévère interdit lui interdit de se battre, préférant le voir étudier pour qu'il devienne plus tard, medecin comme lui. La désobéissance de Fei-Hong lui vaudra d'être chassé de la maison familiale...
Le contexte politique, totalement absent du premier volet, fait ici son apparition, sans pour autant être le moteur principal du déroulement du film (comme dans le film de Tsui Hark, Wong Fei-Hung est considéré comme un défenseur du peuple contre l'envahisseur occidental). Car Drunken Master II est avant tout un film de baston. De la baston comme on en voit rarement. Les longs morceaux d'anthologie qui parsement le film sont de véritables perles cinématographiques dont on ne se lassera pas de sitôt. L'affrontement de Jackie Chan et Liu Chia-Liang contre des dizaines d'assaillants dans une auberge restera quant à elle, une scène mythique réunissant côte à côte deux géants du cinéma d'art-martiaux.
"Drunken Master 2" offre de très bonnes et très (trop ?) régulières chorégraphies ainsi que des personnages bien campés (Anita Mui surjoue un peu trop son rôle de mère surprotectrice malgrès son charisme malicieux). Malgrès tout, le rythme dès le début me parait quasi frénétique. L'ensemble m'évoque plus un show de Jackie qu' autre chose en plus d'être une sorte de "pot pourri" de ce qu'il a fait précédemment (ce film date de 1994). Peut-être est-ce dû au différent(s) entre Liu Chia-Liang et Jackie Chan ayant eu pour conséquence le revoit pur et simple du premier au profit du second à la réalisation (ce dernier a toujours été seul maitre de ses propres films). Il manque en ce qui me concerne quelque chose pour en faire un top Jackie. Un personnage de la trempe de "Mendiant So" peut être (génialement interprété par Simon Yuen dans le premier "Drunken Master") malgré la présence de Ti Lung et Anita Mui.
Et oui, une fois de plus Jackie Chan nous surprend avec la suite du maitre chinois ( qui au passage est mieux ).
Quand Jackie retourne aux sources, ça donne Drunken master 2 et ça en met plein la vue.