Une pensé pour les parents de la générations DBZ.
Comment ne pas laisser une petite critique sur DBZ, lorsque l’on critique des anime sur cinemasie, lorsque comme moi, on à été élevé au DBZ du Club Dorothée. Car il faut rendre à César ce qui appartient à Sangoku (ou l’inverse ?). En tout cas avec ce DA le travail est simple, tout le monde le connaît, donc inutile de le présenter. C’est l’œuvre qui à permis de mondialiser l’anime, mais qui là peut-être aussi limiter.
Car là est le problème de DBZ, il représentait les anime pour les parents occidentaux (en tout cas Français). Alors faut se mettre a leur place, voir leurs enfants âgé d’environ 10ans (en générale) regarder avec jubilation un mec aux cheveux jaunes, recouvert de sang, en lévitation à 500 mètres du sol, entrain de bastonner un gros morceau de chewing-gum rose ou un grand lézard cybernétique, y’a de quoi avoir peur pour la santé mental des enfants et pour leurs futurs insertions professionnels.
De plus comment ne pas être choqué par DBZ, lorsque vous avez comme référence « Bonne nuit les petits » (avec Nounours qui essayait désespérément de coucher Nicolas et Pimprenelle). Non vraiment, ça dû être dure pour les parents. Je leurs rends hommage (en tout cas aux miens) pour ne pas l’avoir censuré complètement (et j’ai même pu m’acheter quelques OAV avec mon argents de poches, lorsque je ramenait une bonne note à la maison).
Mais voilà, il y a le revers de la médaille, car c'est vrai les parents ont faits l'amalgame avec DBZ qui est destiné à un publique plutôt jeune et décontracté et tout le reste de l'animation Japonaise qui s'adresse a tout les publics, dû a son immense diversité. Il y en a pour les 7 à 77ans (comme le dirait notre amis Michel). Ils n'ont pas compris que DBZ n’était que la 1ère étape pour ces jeunes enfants fondus de baston et qui représentait qu’une infime partis de l’anime Nippon. Je pense vraiment que ça à décrédibilisé la japonisation aux yeux de nos vieux, donc forcément on avait moins d’argent de poche pour passer à la seconde étape, c'est-à-dire Akira, Ghost in the shell, Gunnm, Patlabor…
Car l’accès au reste des anime était difficile, comme je ramenais moins de bonne note à la maison ; dû au faite que mon cerveau n’a pas suivi un développement normal (il est resté au stade DBZ). Donc en résumé: moins de bonne note, moins d’argent de poche. Moins d’argent de poche, moins d’anime. Moins d’anime, moins d’évolution cérébrale. Moins d’évolution cérébrale, moins de bonne note. Ou là là, le cercle vicieux !
Mention spéciale aux cheveux de sangoku et aux parents qui ont été assez cool dans l'ensemble. Et qui maintenant en voyant la génération Razmokèt et Pokémon débarquées, sont nostalagiques de celle de DBZ.
On a vu des dizaines (dans le désordre le plus souvent) on ne souvient d'aucun en particuier mais au total c'était quand même funky
Atteint de toutes les tares du genre (les combats qui s'éternisent, le doublage français infernal mais bon il a son charme,...) c'est toute notre enfance, quand on a découvert que la violence ca pouvait être aussi marrant (Ken le survivant aussi bien sur).
legendairement mytique
série vrziment passionnante mais extremement longue
291 episode
meme si parfois c'est un peu longuet
elle vaut le detour
mais je pense que l'on le sait deja tous
Il est difficile de faire une critique au sujet d'une série aussi longue et dense que Dragon Ball mais on distingue très clairement 3 grandes périodes: La première partie correspond aux aventures de Sangoku enfant, c'est Dragon Ball. Toriyama réalise une alchimie parfaite entre humour à la Dr Slump, aventures et combats. C'est la période ou la "bande" à Sangoku va se former; d'abord Bulma, puis Tortue Géniale, Krilin(qui sera son meilleur ami), Yamcha, Tenshin-Han...Rythmé par une quête incessante et passionnante des 7 boules de cristal, il y aura également les superbes tournois d'arts martiaux qui permettront à Sangoku de progresser et de faire des rencontres. La deuxième partie est ce que l'on pourrait appeler la période "cyber" de DragonBall qui sera dans le dessin animé DragonBall Z et qui donneront lieu à des épisodes ultra violents. Cette fois, Sangoku est marié, adulte et a un fils, Sangohan, qui est le contraire de son père, pleurnichard et poltron. Période ou la recherche des 7 boules de cristal ne sont plus qu'une formalité pour Sangoku et ses amis, l'histoire va se concentrer sur les ennemis de Sangoku, de plus en plus forts, proportionellement à la puissance de notre héros. Rencontre très importante avec Végéta( qui deviendra son rival de toujours mais aussi un précieux allié) et avec Freezer, où Sangoku se transformera pour la première fois en Super Saïyen. La période "cyber" s'achève avec la mort de Sangoku mais la relève est assurée avec son fils, Sangohan. La troisième partie est bien moins intéressante, Toriyama, à qui l'on a forcé la main pour continuer, se creuse la tête pour redynamiser la série. Ce qui donnera lieu à la triple transformation de Sangoku, la dernière étant particulièrement laide, on s'éloigne de plus en plus de l'esprit l'original, sans parler des fusions, aussi ridicules les une que les autres. Mais je ne vous parle même pas de DragonBall GT( qui n'a pas été fait par Toriyama et qui n'existe qu'en DA) ou Sangoku régresse à l'ère du Crétacé-Tertiaire avec une coupe de cheveux style "visual Rock", une queue de singe qui lui a repoussé et surtout, une espèce de fourrure rose du plus bel effet. Autant vous dire tout de suite que là, il ne ressemble plus à grand chose(le pauvre, quand je pense qu'à l'origine il n'avait que les cheveux noirs!) sauf peut être à un Dragqueen tout droit sorti du Bois de Boulogne. Avec cette tête de mutant, il peut envisager à l'avenir, intégrer l'équipe du professeur Xavier et devenir un X-Men. Ne retenons que l'oeuvre de Akira Toriyama, les combats sont impressionnants, les personnages entrés dans la légende du manga.
pourquoi 0.25
tout simplement parceque je n'aime pas du tout cette serie, le design des personnages,le style Toriyama, je deteste, tous les personnages se ressemblent (SanGoku, vegeta) a part quelques perso, comme le gros au katana (dont je ne connais pas le nom) ou encore le cochon en uniforme de l'armée chinoise qui sortent un peu du lot, les combats sont interminables et finissent toujours de la même manière (sanGoku ressuscité ... encore, fini par vaincre un ennemi qui a battu tout le monde... c'est lassant), la serie dans son intégralité merite pour moi 0.00, la seule partie que j'ai trouvé vraiment sympa, et qui tranche avec le reste de la serie, c'est lorsque San Gohan, se transforme en "Guerrier Intergalactique"
Donc le 0.25 finalement c'est pour le "Guerrier Intergalictique" et le cochon de l'armée chinoise
Une série legendaire en manga , mais horriblement longue en animé
Pourquoi 280 episodes , ou la moitié consiste a decrire la vie des personnages hors des combats , goku va a la peche....le mythe est néanmoins là et DBZ a marqué toute notre jeunesse et reste aujourd hui une série culte , d ou sa sortie en dvd . Mais lisez le manga en priorité .
Moins fun que Dragonball
On reste plus ou moins dans le même esprit que
Dragonball, mais avec plus de combats impressionants. Du coup, l'humour qui faisait le charme de la série est un peu passée à la trappe. Et le personnage de Sangoku devient plus une sorte de
guest qu'un personnage central (vu qu'il se fait voler la vedette par les autres). Cependant le lot de nouveaux personnages apporté à la série est plutôt interessant. Certains personnages sont même plus charismatiques que Sangoku lui même (Végéta, Trunk, Picolo,....,surtout Végéta).
A part la saga avec Freezer et la saga avec Cell (ma préférée), la plupart des autres épisodes se répètent et sont parfois lourds. Sans parler du nombre hallucinant de fois où certains personnages meurts pour ensuite réssussiter avec l'aide des boules de cristal. La musique de
Shunsuke Kikuchi par contre est toujours aussi excellente.
Mon coeur balance davantage pour
Dragonball que pour
DBZ. Même si cette dernière possède de très bons moments.