Corey Yuen in da place ! !
Voici une grosse poilade assumée et maîtrisée - presque - de bout en bout par l'équipe en activité, des gonzesses en vadrouilles jusqu'aux CGI bien sympatoches, en passant par des combats bien funs et un ton décalé très proche des Drôles de dames version McG. Là on est dans l'adaptation d'un jeu vidéo, et "l'autre" Paul Anderson, ici producteur, connaît la chanson (Resident Evil, Mortal combat). La patte Corey Yuen permet d'obtenir un rendu très efficace des combats, ça fight pas mal et longtemps sur à peine une heure et demi de métrage. D'autant que Corey (du nord... Amérique du Nord) s'y entend pour créer des minis enjeux sur chaque affrontement. Père contre fille, dragueur contre draguée... Le meilleur étant celui ayant lieu entre deux somptueuses blondes agressives. Présenté "à la coréenne", c'est à dire sous la pluie, ce dernier est intégré à un joli flash back amenant certains éléments de l'histoire de bien belle manière. On connaît la gagnante à l’avance, à ce passage-ci d’en obtenir une raison d'être à part qui apporte une certaine fraîcheur à cet instant-là. Surprenant. Dommage toutefois qu'un final trop long et convenu vienne ternir ce défilé hormonal très avenant. A force de fracturer les yeux du spectateur en lui montrant de telles donzelles, lorsqu'un duel "au sommet" survient entre « bouffiman » Eric Roberts (en "cheat mode"!) et Collin Chou (Matrix 2 et 3, Flash Point), on s'en tamponne le coquillard… pourtant y’avait comme un concept sympa là, non ?
Comme souvent le début est fracassant puis, au fur et à mesure, ça s'étiole. Ne gardons donc que ce début, et tant qu'à faire une seule scène, celle où une superbe demoiselle en action se fritte à moitié nue avec trois gars (habillés) dans sa piaule. Elle jette soudain son sous-tif en l’air, envoie valdinguer un flingue, enfile le premier en total free style (grosse plongée) puis récupère le second pour, en un quart de seconde, braquer les cojones du mec qui se trouve derrière elle et lui demander, calmement, de finir d'attacher son sous-vêtement. La classe.
Nanas power
Petit florilège des réactions sur ce film trouvées sur la toile :
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Le coup de l’ile déserte avec une compèt’ clandestine, ça date pas d’hier, revoyez mon Opération Dragon pour vous convaincre ! » - Bruce Lee, ancien acteur
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Corey, la prochaine fois que tu voudras chorégraphier un combat sur des échelles enchevêtrées, pense à moi, parce que là, comparé à Il était une fois en Chine, ça fait un peu minable, scuse-moi du terme. » - Tsui Hark, réalisateur en freelance
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Grouille-toi d’appeler mon avocat, on attaque pour plagiat de titre. » - Takashi Miike, cinéaste incompris
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Une nouvelle preuve de la décadence de l’Occident. Chez nous, on sait encore tenir nos ispèces de connass' femmes ! » - Oussama Bin Laden, ermite
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Une nouvelle preuve de la féminisation des hommes. Du temps du Général, c’était pas comme ça… » - Eric Zemmour, sociologue débutant
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Le cas que nous allons traiter ce matin est très émouvant. Brian J. White nous a écrit pour nous expliquer une succession de malheurs qui le touchent dans sa chair. Malgré un patronyme difficile à porter du fait de sa couleur de peau, il parvient à se faire engager sur le tournage de DOA. Mais sa partenaire, une jolie blonde, refuse toutes ses avances avec un regard mauvais, et son personnage ne survit pas à l’explosion finale. La ségrégation continue aux USA, 40 ans après Martin Luther… » - Louis Schweitzer, crash-testé à la HALDE
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C’est une véritable lame de fond. Les Charlie’s Angels et Tomb Raider aux USA, les girls with guns à Hong-Kong, les Dangerous Flowers en Thaïlande et maintenant DOA, tous ces films propulsent les femmes sur le devant de la scène. Car oui, on peut être sexy tout en mettant la pâtée aux hommes ! » - Clémentine Autain, féministe visionnaire
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Des gonzesses de 40 kg qui explosent des mecs bodybuildées, c’est quoi ce film à la noix ? » - Jean-Claude Van Damme, 4
ème dan de philosophe
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Déjà qu’on peut plus attaquer les voiliers de luxe sans se retrouver avec le GIGN sur le dos, et voilà que maintenant, s’en prendre aux petits bateaux avec des nanas qui bronzent dessus devient risqué parce que Mesdames ont appris le kung-fu ! Dans quel monde vit-on, je vous le demande… » - Yusuf, pirate somalien
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Mais quel abruti, il a préféré sauver sa peau en oubliant le sac plein de biftons ! Carla ! Tu sais bien te battre non ? Viens ici, je t’ai trouvé une mission de 1ère dame de France : gagner DOA l’an prochain et récupérer le pognon. » - Nicolas Sarkozy, spécialiste en pouvoir d’achat
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On voit bien ici les effets pervers du système capitaliste. L’organisateur de ce jeu est vendu aux grands patrons des multi-nationales, et le tournoi qu’il met en scène flatte les intérêts les plus égoïstes des participants qui doivent, dans une concurrence acharnée destructrice, écraser leurs congénères pour empocher le magot. Heureusement, la solidarité humaine prend le dessus puisque les damnés de la compétition sonnent la révolution et finissent par pendre le patron à un crocher de boucher. Enfin, un truc dans le genre. Bon maintenant laissez-moi, Drucker m’attend. » - Olivier Besancenot, depuis sa loge de Vivement Dimanche
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Tous les commentaires rapportés ici sont faux, pas drôles, et l’auteur de cette vile imposture est un crétin. » - Ghost Dog, cinéphage
Très dispensable
L'intérêt de DOA (le jeu), on le connaît. Des piles de combat avec des styles variés, et bien sûr des bombes le plus souvent très dénudées et généreusement pourvues par la nature. Si l'on retrouve finalement ces deux aspects dans le film, le fun n'est plus vraiment là. Premièrement car les combats, s'ils sont d'un niveau tout à fait honnête, restent loin du top niveau mondial. On cherche désespérement quelque chose de nouveau dans ces affrontements utilisant beaucoup le montage pour faire passer les acteurs pour des artistes martiaux. Quelques mouvements sont funs et bien foutus, mais rien qui fera vraiment s'exciter le vrai fan. Corey Yuen c'est
Fong Sai Yuk, donc difficile de se satisfaire des multiples emprunts à d'autres chorégraphes (mouvements aériens à la Ching Siu Yung, combat sur échelle à la Yuen Woo Ping...).
Quant à la partie filles en maillot de bain, c'est assumé, ok. On ne voit presque que les filles alors que le jeu respecte parfaitement l'équilibres hommes/femmes dans sa liste de combattants. On retrouve bien la plupart des personnages, mais la plupart n'ont droit qu'à quelques minutes histoire de mettre l'accent sur les trois personnages féminins principaux dont les sous intrigues sont d'un inintérêt assez absolu. Le frère de Kasumi a disparu, oh la pauvre, et on ne doute pas qu'il va revenir avant la fin en plus... Quant à l'histoire d'amour non assumée avec Hayabusa, ça passe dans un film pour les 12 ans et moins, mais là c'est nul. On continue avec le copain miteux de Christie qui court après un pognon dont on a rien à faire. On terminera avec la classique histoire bâtie autour du tournoi et de son boss (Eric Roberts) pour rendre l'ensemble plus "intéressant". En bref, tout ça, c'est du remplissage beaucoup plus sage et sérieux pour être autre chose qu'agaçant.
On retiendra plus Kane Kusogi et Collin Shou car plus crédibles martialement parlant. Les filles sont jolies, mais font globalement cheap, surtout Tina Armstrong, la pouf américaine de base par excellence. Et quitte à assumer de faire des plans "mattez moi ce cul et ces nichons", le film n'y va finalement pas bien fort et se montre trop sage pour être autre chose qu'un produit. Fallait y aller franchement et verser dans la série B superficielle sans ces intrigues pseudo sérieuses d'une nullité crasse! Plus de maillots de bain, de cadrage en contre plongée, quelques vrais scènes de sexe plutôt que deux trois bisous bien puritains...
Le reste est du même tonneau, très commercial et sans grand intérêt: de la musique à la photo en passant par la réalisation, tout est très "rentre dedans", coloré, bruyant, ludique, superficiel. A l'image d'un jeu vidéo bien sûr, mais sans l'interactivité et avec des longueurs insupportables entre le plan "string sur la plage" et le plan "mon pied dans ta gueule".
Regardable donc, mais tout aussi dispensable.
Sans complexe
Ca fait du bien de voir ce genre de film tellement volontairement décomplexé qui l'en serait (presque ?) perçu comme débile, mais jamais irritant...et totalement respectueux de son public. Corey Yuen, réalisateur et chorégraphe, nous offre ici un spectacle d'ensemble roboratif. Au vu du casting et sans faire offense aux personnes concernées, il est, je crois, utile de préciser que plus d'un(e) protagoniste n'a pas un niveau martial de dingue ici et que le travail effectué sur les combats est plus qu'honorable et lisible). Rajoutez-y un humour bon enfant franchement efficace, un casting tout à fait dans le ton incarnant des personnages jamais lourds, un rythme hyper soutenu et pleins de nanas sexy en maillots de bain (pas - uniquement - là pour montrer leurs formes et leur savoir faire "rayon baston" mais également leur caractère) et il y a de fortes chances pour que vous passiez un (très) bon moment. À "ranger" entre le "Charlie et ses drôles de Dames" de McG et "Fast and Furious 7".
20 novembre 2019
par
A-b-a
bon film.
Un bon film qui peut être vu plusieurs fois (mais pas au cinéma à chaque fois, faut pas déconner).
Le principe du film est simple, l'histoire principale tourne autour de kasumi qui veut retrouver son frère et autour de ça, on dispose des scènes de combat, une île pète la classe et des filles en bikini (normal après tout).
bref c'est ce à quoi je m'attendais et ça le rend pas trop mal.
don c'était bien.
Je vais encore être obligé de risquer ma vie!
Car oui, j'ai aimé DOA. Tourné dans la même mouvance que "le transporteur 2", DOA est un pur film de divertissement, au second degré amusant et à la débilité assummée, dont la seule ambition est de nous faire passer un bon moment.
Ls scénario est anecdotique? N'est-ce pas le cas du jeu après tout? Les combats sont surdécoupés et les chorégraphies restent simples? C'est vrai, mais il y en a un sacré paquet, ça s'enchaîne à très vive allure, et ça reste largement regardable. On a même le droit à quelques éclats de fureur de la part de Ngai Sing et du encore trop sous-exploité Kane Kosugi.
Film de beauf, film de djeun's? C'est certainement le cas, mais entre un film de beauf qui me fait passer une bonne soirée et un navet auteuriste dont la seule ambition est flatter l'ego de son réalisateur, je choisis la première option.
Bien sûr, il y en aura toujours pour crier au scandale, parler de navet, prétendre qu'un "vrai cinéphile" ne regarde pas ce genre de "bouse". C'est sûr, si on aime à croire qu'on fait partie de l'élite, il vaut mieux fuir ce genre de film. Mais quand on regarde DOA, on sait à quoi s'attendre dès le début, on n'est pas pris en traître, donc si on n'aime pas ce genre de film, pourquoi s'imposer le supplice de le regarder? Pour cracher dessus en montrant qu'on est trop bien pour apprécier le spectacle?
Bourré d'humour, tournant en ridicule les figures imposées sans jamais se prendre au sérieux ou se moquer de son spectateur, le film de Corey Yuen est un pop-corn movie réussi, qui permet de se détendre sans prise de tête, de se laisser entrainer dans un tourbillon d'action pas inoubliable mais sympathique, et de surcroit c'est une très bonne adaptation des jeux. On retrouve tout à fait l'ambiance avec la partie de beach volley en clin d'oeil, etc.
Alors une bouse DOA? Je ne sais pas, en tout ça divertit, contrairement à certains films de génie.
PS: seule la trop courte apparition de Robin shou m'a vraiment déçu... sniff
J'en oublierais presque de m'insurger contre l'apparition au ciné de Devon Aoki, sans doute l'une des plus mauvaises, inexpressives, et accessoirements laides, "actrice" que le monde ait jamais connu.
Je ne connais pas le jeu, mais ce Dead Or Alive fait plaisir à voir, surtout dans la grosse première partie ou tout s'enchaine sans accrocs. Ensuite, quand le championnat est interrompu ça m'a semblé moins maîtrisé, et un peu gavant.
Les combats sont sympas, on peut déplorer quand même trop de câbles et un peu trop de cgi mais ça passe encore. Evidemment le scénario est stupide, mais au bout de deux minutes de films on sait à quoi s'attendre, en plus le film ne se prend pas au sérieux. Pas aussi con et vulgaire qu'un Bikini Bandits, pas aussi "classieux" que Naked Weapon, on est plus proche d'un Charlie Angels rempli d'action, en tous cas le divertissement est assuré.
Game Over !!!
En fait, il n'y a pas grand chose à dire sur ce
DOA si ce n'est le fait que ça reste un petit plaisir coupable. Même si dans le genre je préfère encore me matter
Opération Dragon ou voire même
Charlie's Angels 2.
En effet, les adaptations de jeux video de combats ne volent pas très haut en général. L'affaire
Dead Or Alive n'échappe pas à la règle. Avec un tâcheron comme
Paul Anderson à la production on sait que la bataille est perdue d'avance. Mais avec
Corey Yuen à la réalisation, on se dit qu' il peut y avoir un miracle. Eh bien non.
Déjà, les filles en petite tenue sexy sont juste un prétexte pour remplacer le scénario inexistant. Ok. Jusque là ils sont au moins restés fidèle à l'esprit du jeu. Et puis on est là pour çà. Faut quand même pas déconner. Niveau dialogues, décors et effets visuels, on repassera. D'ailleurs les combats, certes nombreux, sont quasiment tous identiques. Et ça c'est bien dommage. Le montage très cut ( trois monteurs crédités quand même...) et l'utilisation abusive des câbles n'arrangent pas les choses. Seul le combat au sabre dans les escaliers avec l'actrice
Sarah Carter face à une bonne cinquantaine de gardes a retenu mon attention. Et encore, je suis bien raisonnable. On a droit aussi à quelques beaux ralentis (notamment le combat sous la pluie).
Avec son côté 8eme degré assumé,
Dead Or Alive reste tout de même fun à regarder avec un
Eric Roberts faisant du Kung fu (ridicule mais drôle) et des actrices (levant bien la jambe) qui ont l'air de bien s'amuser à kicker du "mâle". A part l'actrice
Devon Aoki qui est absolument mauvaise dans son jeu. Cette fille ne dégage aucune expression au visage et a l'air de mortellement s'ennuyer. Bref,
Corey Yuen a reussi l'exploit de faire un poil mieux que
So Close. Et ça c'est déjà un miracle.
beauferie next-gen aseptisée
Au cinoche rien ne vaut les moments de détentes beauf, et aucun doute
DOA rentre dans la catégorie. C'est juste dommage qu'il soit totalement aseptisé (et donc privé d'une bonne partie de son charme). Rendez vous compte, même pas un seul plan nichon dans ce film qui y était pourtant fort propice ! Scandaleux ! Pas de plan petite culotte non plus, tout juste quelques (beaucoup de) bikinis à se mettre sous la dent pour le pervers nanarophile qui rêve que
Takao Nakano s'en soit chargé (quitte à rajouter quelques tentacules). Dès lors les quelques plaisir que
DOA pouvait réserver (car il y en a) n'ont plus du tout le même goût.
Inutile de parler du scènario, qui hésite entre l'inexistant et le simple prétexte au enfilades bikini-baston-bikin-humour pas drole-bikini-baston, qui sent à 150 bornes l'influence (sic) de
Paul Anderson (loué soit son nom, réalisateur en autres de
Mortal Kombat et de
Resident Evil, ici au poste de producteur). Cela dit, il recèle quelques bons moments d'absurdité qui pourront faire sourire les plus indulgents d'entre vous, de même que les fans de piratage informatique. D'un coté c'est dommage de voir un jeu pourtant assez subtil (bien entendu je ne parle ni du système de "breast bouncing" ni des spin-of de beach-volley, mais du game-play assez technique) transformé en fantasme masturbatoire pour mâles prépubères, mais que voulez-vous ? c'est moins pire qu'une adaptation sérieuse. Tant qu'on y est dans les reproches, parlons un peu du casting. Ca vole pas haut mais c'est normal, attendu et très pardonnable, mais on ne peut que déplorer le manque de variété parmi les actrices (on est là pour ça, non ?) : sur cinq rôles principaux, quatre blondes, c'est innadmissible ! Et pour seule beauté exotique du lot une princesse shinobi bien plus métisse que japonaise (mais pas désagréable pour autant, un des principaux plaisirs de
2 fast 2 furious autre monument de beauferie next-gen), ça fait bien peu...
Rabatons nous quand même sur les effets spéciaux, notemment quelques explosions en CGI qui ne font pas offence à l'absence de budget (lors de l'explosion finale, on se laisse même penser à
Beowolf), mais ce n'est finalement pas assez, et dans la catégorie "nanar numérique flashouille réalisé par un chimpanzé ivre" ça n'arrive pas à la cheville d'un
Ultraviolet, en particulier à cause d'une mise en scène trop plan plan, malgré son extrême illisibilité.
Verdict : pas honteux si vous avez une carte illimitée et une soirée à perdre. Dans le cas contraire, vous risqueriez de le regretter quand même.
31 juillet 2007
par
Epikt
Corey Yuen va à l'essentiel en filmant de jolies filles et des combats fun dans cette adaptation lobotomisée d'un jeu vidéo.
Trop de la balle!!!!!!!!
Un super bon film!!!!!!!! Les meufs sont trop canon et y'a vachement beaucoup d'action!!!!!!!!!! Franchement moi je vous le conseille ce film en + c'est adapté d'un jeu video, bref trop balèze!!!!!!!!!!!!