Un cat III extremement surestimé.
A mes yeux un CAT 3 complétement surestimé, et une déception. J'en attendais beaucoup (on en avait parlé dans un HK magazine sur le cat 3) notamment d'une scène avec une fillette massacrée ici absente (j'ai sans doute la version censurée).
Beaucoup d'action dans le 2e vcd, quelques viols, mais on reste loin de la barbarie annoncé. D'autant plus que Simon Yam y est GROTESQUE du début a la fin (phobique des AK 47 et fétichiste des pieds de sa femme, quel héros!) effectuant ici la pire performance que j'ai vu de lui. Tommy Wong sauve le film.
Y a quelques scènes d'actions pas mal troussés, mais dans l'ensemble, beaucoup de bruit pour rien.
4,5/10
AK 47
PS : De l'eau à couler sous les ponts depuis les dernières visions de ce film il y a une dizaine d'années, période dans laquelle j'avais du le voir pas mal de fois. Depuis, il y a eu aussi la lecture du bouquin sur la
Cat.3 de l'ami
Julien "Jules" Sévéon qui a montré une facette de
A Day Without Policeman que je n'avais pas auparavant. Intéressant. Ca apporte un petit truc en plus qui rend se film encore plus bon qu'auparavant.
A Day Without Policeman ? C'est de la bombe de balle calibre AK47 mon pote !
Encore un film amoral et crétinoïde, bâclé et cheap. Sympa par moment, globalement je ne qualifierais pas le film de réussi, mais pour les amateurs ayant déjà vu les classiques du genre, A DAY WITHOUT POLICMEN est un choix possible. Ca se regarde une fois.
Un bon cru !
Tres bon cat3 avec Simon "Dr Lamb" yam, aux prise avec des villageois sans manières. Ca decoupe et ça s'etripe sec, Simon Yam nous fait sa "spéciale" : ici, il nous fait une crise d'épilepsie dès qu'il voit un AK47...Une valeur sûre du genre !
Un scénario qui tient derrière un timbre poste, des acteurs qui en rajoutent dans le cabotinage, un Simon Yam qui est pris de spasmes dès qu'il voit un fusil mitrailleur, une nympho sauvant une adolescente grâce à ses charmes, de l'ultra-violence... mouais, tout ça manque quand même de saveur.
Quand c'est pas Anthony qui fait le ouf dans les Cat III, c'est forcément Simon Yam.
Et oui, ils ont longtemps arrondi leur fin de mois en jouant les débiles mentaux dans des films tous plus immoraux les uns que les autres. Et celui là est certainement un des plus hards mais aussi un des plus excitants dans le fait que tous les modes de violence du cinéma hong-kongais y sont représentés: des gunfight, des combats pied/poing et des viols. Et le tout très bien filmé avec un Simon qui se prête bien au jeu.
Attention néanmoins au matraquage du sous-titrage qui est parfois incohérent. Amusant de constater que les piste cantonnais/mandarin ont énormément de différences sur les musiques, la bande-son en général. Sympa si vous voulez vous le mater deux fois, ça change. Du jamais vu ! Seule deception: on ne voit pas Yu Li completement nue...