c'est l'histoire d'une cage, blanche, normale...
Ce que de ses premiers films il a perdu de vraiment insisif dans sa réalisation et son montage,
Shiota a gagné en profondeur, en complexité et en puissance évocatrice des images. Même si on est loin de
Gaichu, (ultime ?) chef d'oeuvre qui justement alliait ces deux points à la perfection et dont on se demande si
Shiota pourra retrouver le degré d'accomplissement.
(qu'on ne s'y trompe pas toutefois, j'ai beau reprocher tout ce que je veux à
Canary, ça reste au dessus du tout venant)
20 janvier 2008
par
Epikt