Hey oui pour à peine 6 euros le DVD , uniquement en vente sur CD Discount , apparement il s'agit d'édition Dvdy ( DVD editer par cdiscount) , j'espere que la qualité est correct , on retrouve d'autres films asiatiques dont voici la liste :
China Strike force ( hong kong )
Eureka ( Japon )
Desert Moon ( Japon )
H Story ( Japon )
Love will tear us apart ( Hong Kong )
8 femmes et demi ( Angleterre / Chine )
Tokyo Decadense ( Japon )
L'anguille ( Japon )
Les 7 samourais ( Japon )
Les Bas-fonds ( Japon )
Le garde du corps ( Japon )
Vivre ( Japon )
Mouais, enfin parmi les 50 à choisir, t'es quand même obligé d'acheter souvent n'importe quoi. J'ai l'impression que la notion d'acheter un "film" est complètement dépassé. C'est comme acheter un pack de coca ou de biscuits en promotion en tête de gondole dans un hypermarché. T'en prends beaucoup, parce que c'est pas cher, pas parce que t'en as envie, ou pour une quelconque valeur lié à l'oeuvre. Cdiscount je veux bien, mais il y a quand même des limites. A ce niveaux là c'est au delà de la boulimie, c'est même plus du cinéphage, c'est sauvage.
Une excellente news ! Y'a même du Mario Bava ! Merci Yoshiki !
... j'aime bien la grosse bourde dans le descriptif de La Maison de L'exorcisme : "Un film de Mario Bava sur une musique du grandissime Sergio Leone"
Ennio Morricone n'a jamais réalisé un seul film ! :)
Je conviens, après vérification, que tu peux effectivement atteindre facilement 25 films intéressants, entre les films asiatiques, et les Murnau, Rosselini, Lubitsch, De Sica, Pasolini etc. Mais 50, je vois vraiment pas, à moins d'acheter quelques séries même pas assez Z qui m'ont l'air plutôt grasses.
>entre les films asiatiques, et les Murnau, Rosselini, Lubitsch, De Sica, Pasolini etc.
et les Bava, ils puent? Et le cercle, gods and monsters, 8 femmes 1/2 c'est des séries Z? A te lire, j'ai l'impression que cinéma international actuel est à jeter(on se demande bien comment feraient alors les petites salles pour survivre...)
Tout à fait d'accord avec Alain !!!
Jérôme n'oublie pas les Bava, il est un auteur digne des Pasolini et autres Rosselini !
Je sais Salo... ou Théoréme sont des oeuvres fortes, mais un Masque du Démon ou un 6 Femmes Pour l'Assassin n'est pas à déconsidérer, bien au contraire. Pour moi comme pour beaucoup de monde un Fulci est tout aussi honorable qu'un Antonioni. Voilà ça n'engage que moi soit dit en passant, alors pourquoi l'exprimer sur ce forum ?... va falloir que j'y réfléchisse :)
En tout cas je suis content car il y a longtemps que je n'avais pas été d'accord avec Alain, n'est-ce pas Alain ? ;-)
Je n'oublie pas Bava, je suis désolé ô mon maître ! Comment oublier Bava ?! Digne de Pasolini et Rosselini je sais pas (peut être...), mais en tous cas un cinéaste indispensable. Particulièrement : La fille qui en savait trop (pour la scène où elle s'évanouie nue sous son manteau en cuir noir dans une nuit de miroir-métaphore-, et celle où elle pénètre dans l'appartement avec le jeu d'ampoules nues se balancant dans un couloir vide). Une hache pour la lune de miel (pour la névrose obssessionelle et érotique du personnage), La baie Sanglante (pour le premier meurtre où la fille meurt alongée les jambes dénudées tout en poussant un gémissement de souffrance/jouissance d'un érotisme foudroyant, et la fin complètement improbable à limite du nihilisme), Le masque du démon (pour ses 10 premières minutes, ses ombres et lumières qui n'ont rien à envier à tout l'expressionisme allemand), Lisa et le diable (pour la scène nécrophile d'un érotisme troublant), Le corps et le fouet (pour la scène ou Christopher Lee fouète sa belle soeur dans une scène d'un sado masochisme fascinant, et pour la scène où le visage de Lee surgit de la pénombre avec pas moins de 3 à 4 variations chromatiques dans le même plan), et pour tous ceux que j'ai pas vu...
Le cercle et gods of the monster j'ai pas vu, je me souviens plus bien à quoi ça correspond. Quant à 8 femmes 1/2 c'est du Greenaway ? Mouais, j'ai bien du mal avec Greenaway. C'est assez pénible en général.
The pillow book passe encore pour les chansons de Guesh Patti, même si je trouve qu'il y avait un grand sujet, et que le traitement est très superficiel (un Oshima en aurait fait autre chose).
Le reste de Greenaway est à gerber, particulièrement le Cuisinier le voleur... et the baby of Macon.
Crying Freeman et Le Pacte des Loups sont tout sauf des navets. Certes, ce ne sont pas des chefs d'oeuvres, mais on a vu pire chez les productions Besson par exemple.