Ouais en gros, c'est ça un cadre dans le cadre, une façon de récouper le cadre au sein du cadre avec des embrasures de portes, fenetres, etc. Kiyoshi Kurosawa le fait pas mal, entre autres.
Ca va souvent en adéquation avec une idée du cinéaste de corrélation entre ça et le propos enoncé, comme le fait que le(s) pers(s) soi(en)t oppressé par une situatiuon, ou qu'il soit etouffé par qqc, etc. C'est un peu du lien d'analyse filmique de CM2 mais c'est très employé pr souligner ce genre d'idées...
A la limite, le split-screen peut-être vu comme un moyen ultra-formel de surcadrer son image...
>... si c'est pas une remarque orgueilleuse ça !
Je ne l'avais d'ailleurs meme pas relevée. Faut dire qu'avec ce que je me suis pris dans la gueule du coté de la Corée ça fait presque figure de remarques la fleur au fusil.:)
Oh ben non les gars.... Ca n'a rien de prétentieux, je me suis mal fait comprendre.... Je dis pas que les cinéastes qui font ça sont du niveau de CM2, par exemple ! Je voulais dire que c'est le truc de base que les gens emploient tous le temps, dire : " le surcadrage de l'image est là pour souligner tel ou tel sentiment chez un personnage....". Vous remarquerez que j'ai même pas essayé de donner d'exemples plus intello, ou pus poussé, etc, j'en ai même pas ! J'ai juste dit que l'exemple que je donnais faisait analyse de CM2, car c'est tout ce que j'ai pu donner, vous allez pas me taxer de prétentieux pour ça ?...
étant universitaire, spécialisé en esthétique, je ne peux qu'être gêné par une telle remarque, qui agit pour moi tel un jugement.
Pour te montrer que je le prends vraiment personnellement, mon premier vrai travail universitaire s'appelait: "Question d'identité chez Wong kar waï" à travers la notion de surcadrage.
Résultat, cette phrase m'embarrasse quelque peu:
>>>>" le surcadrage de l'image est là pour souligner tel ou tel sentiment chez un personnage...."
Par contre, si tu veux dire que, d'une notion porteuse, on trouve souvent un emploi excessif et de nature à dénaturer la fonction première d'un phénomène plastique, je ne peux qu'être d'accord. L'unique problème qui persiste et que une telle affrimation est juste pour toute chose. Sa présente nomination ne peut se justifier, me semble t il, que soit par une attaque directe, soit par un sentiment d'orgueil montant.
Bien sur, dans un cas comme dans l'autre, c'est une part d'expression à laquelle tu as tout à fait droit.
>Ca n'a rien de prétentieux, je me suis mal fait comprendre....
D'accord, aucun problème en ce qui me concerne.
>Je voulais dire que c'est le truc de base que les gens emploient tous le temps, dire : " le surcadrage de l'image est là pour souligner tel ou tel sentiment chez un personnage....".
S'il s'agit de dénonçer un emploi abusif du terme qui ferait de façon erronée du surcadrage une technique servant seulement à exprimer les sentiments d'étouffement, de claustrophobie, d'oppression..., je suis d'accord. Mais de là à affirmer de façon péremptoire que c'est de l'analyse niveau CM2... Juste histoire de donner une exemple...:) Pour l'Etrangleur de Boston (ok j'ai fait exprès de prendre un exemple d'usage à outrance du surcadrage:)), il est difficile à mes yeux de parler de l'usage du surcadrage par Fleischer sans évoquer la dimension dont tu parles. Même s'il ne s'agit pas de la seule manière de l'utiliser dans le film...
Autant tout replacer dns son texte. Déjà, que ce soit toi MLF ou toi Ordell, j'ai bien pu comprendre que vous ayez un peu mal pris cette phrase ety je ne peux donc qu'apprécier votre réaction finale, qui est de me témoigner votre gêne tout en me pardonnant, voire m'excusant. Déjà, merci.
Maintenant, je voudrais quand-même clarifier les choses. je ne compte pas revenir sur le sens filmique de la chose, seulement sur votre appréhension de ma phrase et la manière dont je peux vous assurer qu'elle était seulement mal tournée... La phrase " C'est un peu du lien d'analyse filmique de CM2 ", vous l'avez prises très directement. Elle ne voulait aucunement dire chaque personne qui utilise cette corélation en analyse a un niveau de CM2. D'une part, par la formulation - et manifèsteent c'était raté ainsi, mais ce n'est pas grave - cete phrase, placée ainsi, avait une force comique en soi. Ce qui induit forcément une certaine distance du propos.
Mais d'autre part, et c'est ça qui compte, elle s'appliquait à moi, comme je l'ai dit quand j'ai essayé une première fois de me justifier : elle insinue que je n'ai pas trouvé mieux à dire ! Autrement dit, j'ai donné un exemple, l'exemple courant par excellence, celui que l'on entend dès nos premiers pas universitaires (MLF, comme moi, visiblement, tu dois connaitre ça) et j'ai donc essayé de m'explqiuer pour ces quelques mots assez simples que sont "comme le fait que le perso soit oppressé par une situatiuon, ou qu'il soit etouffé par qqc, etc" (vous ne le nierez pas) en disant que c'était un peu simlpet, blague : niveau CM2.
C'est vrai, objectivement, le premier niveau d'analyse filmique est celui de voir les liens entre la caméra et l'état émotionnel du personnage de la scène. C'est le niveau 1, c'est donc basique. Là, avec le surcadrage, c'est un peu pareil.
Je suis un peu gêné là, forcément, de passer pour qqu qui a agit "soit par une attaque directe, soit par un sentiment d'orgueil montant", comme tule dis MLF. Je n'ai cherché à attaqué personne, ni à être orgueilleux, ce qui aurait plus consisté à dire que cette analyse était du niveau CM2 et enchainer avec qqc de mieux, de plus intelligent et simulant que j'aurais pu trouver...
J'espère m'être un peu mieux fait comprendre, même si c'était long.
En gros, désolé les gars, je fais aussi de l'analyse filmique, je suis aussi universitaire et je n'hésites pas non plus à avoir recours à ce genre d'analyse effectivement basiques, puisque l'élémentaire n'est jamais à bouder dans un ensemble analytique, non ? J'ai juste voulu témoigner de cette faible d'argumentation que j'ai utilisé, voilà...
Désolé, j'écrit trop, et pr me répéter en plus... t'es dc pas obligé de lire, en gros je disais : je crois que je me suis mal fait comprendre, le CM2 dont je parlais c'est plutôt moi qui quiconque et désolé de m'être mal fait comprendre, ça pouvait être vexant effectivement...
Voilà, allez, je vous offre un Menu XL Supreme Delice à tous le 24 au soir pour me faire pardonner, ça vous va les gars ?
J'ai pas bien compris hendy (faut dire que t'écris trop alors j'ai pas tout lu), ce que t'es en train de dire c'est que tous les rédacteurs du site ont le niveau CM2 max ?
Pas du tout, voyons… Non non, j’ai jamais dit ça ! Je vois pas ce que je ferai sur un site comme ça, à lire je ne sais pas combien de critiques, etc., si je trouvais que c’était du niveau CM2…. Encore une fois, cette phrase que j’ai dite, ne s’appliquait qu’à moi… je ne nie pas que je pense que c’est une des bases de l’analyse, c’est un fait, mais là, qd je parle de CM2, c’est pour évoquer ma phrase, mon explication que je venais de donner…
Ca commence à prendre de grosses proportions cette histoire, et j’ai l’impression que j’ai de plus en plus de mal à essayer de me faire comprendre, et c’est vrai que j’arrange rien avec mes pavés de 400 lignes, désolé…j’ai l’impression que dans ma phrase si j’avais marqué « désolé » avant « c’est un peu un lien d’analyse etc etc », c’aurait été plus clair, par exemple ? Que le ton aurait été plus facile à comprendre, etc., non ?
En tout cas, pour vous mettre dans la situation, en deux mots : c’est comme si vous expliquiez qqc à qqu en prenant l’exemple le plus commun et que vous finissiez en disant « oui bon, c’est un peu du niveau CM2 mais voilà l’idée »… C’est pas se moquer de toutes les personnes qui ont pu avoir la même explication que vous, non, c’est juste dire en déconnant que voilà, c’est tt ce que vous pouvez dire…
Je suis un peu mal là, parce que franchement j’avais vraiment pas envie de passer ici pour un type prétentieux…
Bon, je sais pas si tout sera plus clair là mais je suis vraiment désolé de ce triste malentendu…
Ouf, bien du second degré donc, j'ai l'impression que ça s'arrange.... Faut avouer que là, je commençais à me dire que la terre entière allait commencer à m'en vouloir, les uns après les autres, donc je suis parti à 400 bornes à l'heure... Et c'est triste à dire, mais voilà les dégats d'une absence de smiley lors d'une réponse sur le net, bravo les temps modernes...
Allez, la prochaine fois, je réponds à moins que 3h34 du mat et je capte le degré des gens.
Et t'inquiètes pas Nitram, on se marre en école de ciné, on se matte des films de Stephen Chow et on se refait les scènes à poil avec les profs, on fait des exposés sur l'utilisation des symboles navajos chez John Ford en disant les voyelles en rotant, etc...
Ouais, t'inquiètes Nitram, on est des sacrés joyeux drilles en école de ciné !
>En gros, désolé les gars, je fais aussi de l'analyse filmique, je suis aussi universitaire et je n'hésites pas non plus à avoir recours à ce genre d'analyse effectivement basiques, puisque l'élémentaire n'est jamais à bouder dans un ensemble analytique, non ?
D'accord encore...
>Bon allez, ok... mais des DVDs du concert "The Girl can Rock" d'Hilary Duff alors...
Dans ce cas je crois que je préfèrerais le Menu XL...:)
Ah ah ah ah je ne sais même pas ce qu' est un CM2
ho ho
"ça doit pas rigoler beaucoup dans les écoles de ciné! "
Ha ben oui. On fait des films gratuits!!! (dans tout les sens du terme)
Je crois qu' un bon critique/prof/spécialiste se doit de vulgarisé pour donné envie au lieu de faire fuir.
Je dis cecis et je ne vise personne (pour de vrai) mais comme je viens de terminer une longue histoire d'amour avec la cigarette, je dis tout ce qui me passe par la caboche.
Ben moi, entant que candide, je dis que l'explication de Hendy sur la notion de surcadrage me va parfaitement et que le sens de sa remarque me semblait quand-même bien évidente (pareil comme Jeffy !... comme quoi la canto-pop n'est pas si nocive pour les neurones...).
Alors pour ceux qui sont venu chercher des poux dans la tête à Hendy, les universitaires spécialistes en esthétique, en nanalyse cinochistique et que sais-je encore :
1- si c'est du second degré : z'êtes carrément pas sympas, les gars. Hyper lourds !...
2- si c'est pas du second degré : je trouve votre réaction pas ben maline. La prochaine fois, soyez un peu moins rapide dans votre supériorité culturo-intellectuelle ; un peu de recul vous évitera de confondre interprétation subjective des propos (souvent déplacée) et compréhension objective...
Mais bon, ne vous sentez pas attaqués pour autant par mes propos, hein, les gars, au cas où... Pas plus que Hendy par les votres, j'veux dire... Bref, pas la peine de vous sentir obligés de tenter de venir vous défendre comme ce pauvre Hendy (paskeu après, ça fait mal à la tête au Dr Sylvain et ça va faire rappliquer Mr tamere...).
3- dans tous les cas, c'est vrai que ce serait bien des jolis smileys qui rigolent.
PS pour notre cher Christian nord américain vagabon :
CM2 = "cours moyen 2ème année", pour des enfants de 10 à 12 ans, environ ; dans le système scolaire français, c'est la 5ème et dernière classe de niveau primaire, juste avant l'entrée au collège (niveau "middle school" à ne pas confondre avec la notion de "college" nord-américaine).
PPS : au fait, c'est quoi un universitaire ?... ^__^
(cette notion est profondément floue dans mon esprit)
>les universitaires spécialistes en esthétique
J'ai jamais été à l'université donc ça ne me concerne pas.:)
>supériorité culturo-intellectuelle
Qui est-ce qui fait le reproche d'interprétation subjective de propos?:)
>un peu de recul vous évitera de confondre interprétation subjective des propos (souvent déplacée) et compréhension objective...
Oui mais un forum ça sert aussi à débattre, à clarifier les positions, à lever le voile sur des malentendus. Ce qui a été fait.
>> >les universitaires spécialistes en esthétique
>> J'ai jamais été à l'université donc ça ne me concerne pas.:)
Moi non plus et je n'en sens pas particulièrement géné ni trop fier non plus. J'fais avec (ou sans)...
>> >supériorité culturo-intellectuelle
>> Qui est-ce qui fait le reproche d'interprétation subjective de propos?:)
En dehors de moi, la plupart de ceux qui m'ont semblé réagir par pur instinct aux propos du début, présentant l'apparence d'une culture d'autant plus vexée qu'elle fut apprement acquise (mais là, je n'arrive pas à tourner ma phrase correctement...).
>> >un peu de recul vous évitera de confondre interprétation subjective des propos (souvent déplacée) et compréhension
>> >objective...
>> Oui mais un forum ça sert aussi à débattre, à clarifier les positions, à lever le >> voile sur des malentendus. Ce qui a été fait.
Ben oui mais à quel prix ?... Une question pas si bête => une réponse rapide, simple et efficace ==> une "malencontreuse" incompréhension ==> des tonnes de tentatives de justification et d'explication avant de finir en pirouette cacahouette quand on a enfin compris qu'on ne s'était pas compris, pour une bête question de forme...
Alors c'que j'voulais juste en dire, moi qui n'ai pas eut la chance d'être instruit en ces choses et qui aimerais bien comprendre un peu plus certains de ces trucs techniques du cinéma dont vous avez failli parler, c'est que j'aurais préféré un simple débat argumenté et pour moi instructif sur le sujet et non principalement une bataille d'intentions sur la forme du propos. Moi, je lis aussi le forum pour ça : pour m'instruire au contact de ceux qui savent.
La dessus, une certaine honèteté résiduelle me force à avouer qu'y'avait aussi quelques arguments sur le sujet dans vos posts (même si je n'ai pas tout compris c'qu'y'avait après la première explication de Hendy...) mais quand même, le reste polluait pas mal, je trouve.
Mais bon, il n'y a plus de malentendu alors tout doit aller pour le mieux.
Et puis pour cette notion de surcadrage, bah j'y réflechirais moi-même tout seul dans mon coin la prochaine fois que je regarderais un film. Je sais que ça existe et que ça porte un nom, c'est toujours ça de pris...
PS : je ne sais toujours pas à quoi correspond vraiment la notion d'universitaire...
PPS : et pour un smiley megamdr, c'est pas possible ?... j'en mettrais bien un, là...
>l'apparence d'une culture d'autant plus vexée qu'elle fut apprement acquise
Je ne crois que le ton du commentaire d'MLF était vraiment aggressif. Quant à mon premire commentaire c'était plutôt du style "pas symp
>je ne sais toujours pas à quoi correspond vraiment la notion d'universitaire...
A rien (non pas taper MLF:)).
>Et puis pour cette notion de surcadrage, bah j'y réflechirais moi-même tout seul dans mon coin la prochaine fois que je regarderais un film. Je sais que ça existe et que ça porte un nom, c'est toujours ça de pris...
En même temps j'ai eu 13 ans de vie cinéphage qui se sont très bien déroulées sans ça alors...
>l'apparence d'une culture d'autant plus vexée qu'elle fut apprement acquise
Je ne crois que le ton du commentaire d'MLF était vraiment aggressif. Quant à mon premire commentaire c'était plutôt du style "pas sympathique mais après tout j'ai vu pire", rien de vexé ou d'aggressif.
>je ne sais toujours pas à quoi correspond vraiment la notion d'universitaire...
A rien (non pas taper MLF:)). lol
>Et puis pour cette notion de surcadrage, bah j'y réflechirais moi-même tout seul dans mon coin la prochaine fois que je regarderais un film. Je sais que ça existe et que ça porte un nom, c'est toujours ça de pris...
En même temps j'ai eu 13 ans de vie cinéphage qui se sont très bien déroulées sans ça alors...
hendy, désolé. C'était pas pour te chercher des poux, comme dit Le Singe, mais pour t'inciter à développer ton propos. Blague, pas blague. J'ai mal pris de voir cm2. Sur le coup ça m'a fait un choc. Mais la question, pour moi, était de savoir s'il y avait quelque chose derrière. C'est un peu facile (pas dans ton cas, mais d'une manière générale), de prétexter la blague dès que quelque chose est mal pris, ou demande à être mis en discussion.
(le singe.... je ne me sens en rien supérieur, mais tu dois comprendre qu'une vanne réductrice peut toucher le gens quand elle concerne leur activité. Hendy l'a quand à lui d'autant bien compris que visiblement il est également universitaire. Y a pas de sentiment de supériorité à dire universitaire, ça ne met personne au dessus des autres, ça désigne juste un rapport spécifique et différent à l'objet film et au langage qu'on y pose. Amuse toi à lire les textes universitaire qui ont 10 ans, parfois moins, tu y trouveras parfois un ramassie de conneries, mais qui n'ont pu être écries que par un universitaire. C'est mieux ni pire, mais correspondant à un langage donné.).
Je suis très heureux de voir que tu as pris le temps de développer ta réponse. Le soucis qui persiste pour moi, réside dans le point de départ. Qaund on dit que tel surcadrage sert à exprimer l'enfermement (etc), est l'analyse qui est faiblarde ou bien la mise en scène un peu pueril. Au fond, j'ai l'impression que le type de surcadrage dont tu parles, ceux offrant une interprétation immédiate et compréhensible par un enfant de 10 ans, n'est pas lié à l'analyse, mais à la réalisation qui se veut universellement compréhensible pour qu'on puisse comprendre sans utiliser notre cerveau. C'est à dire que c'est du block-buster américain, c'est le zoom avant sur le visage de Parker quand il recent le désir de dire à Marie Jane "je suis spiderman".
Bref, loin d'un outil d'analyse, ton appellation désigne, pour moi, des procédés techniques de mise en scène naive de l'organisation plastique de l'espace dans l'image. C'est à dire l'utilisation tel que de procédés narratif qui sont devenu une matrice de base. Le moindre surcadrage, ou autre effet qui en soit serait aussi primaire, est devenu primaire par l'habitude qu'on en a pris. Le premier surcadrage était une révolution (hitchcock ou Welles doivent être dans le coin). Seulement une fois la révolution passé, chaque emploi de la technique sans apport nouveau devient participe à une standardisation qui rend primaire le dispositif en simple objet de communication sur des éléments devenus une normes entendus pour tous.
Pour prendre un exemple simple, la durée du plan. Les premier films étaient en un plan, sans montage. La durée du film correspondait à la longeur de la pellicule et à la vitesse de projection (type les films Lumière). Avec le montage, la durée des films a considérablment ogmenté. dans les années 50/60 on a pronné le montage minimum. Un film devait contenir le moins de plans possible, n'ayant recours au montage que lorsque cela se justifie exprécément par la narration ou un effet technique (Godard prend l'exemple du trucage de crin balnc). Dans les année 70, le montage à eu une tendance à s'accélérer pour atteindre ce qu'on à appelé le sur-découpage. Aujourd'hui, l'emploi d'un plan séquence dans un film est chargé de sens car singulière (ex du plan d'ouverture du Snake eyes de de Palma où un mec se fait tuer sur ring.). L'aspect hypnotique des Fleurs de Shanghai ne vient pas d'ailleurs que de la répétition strict dans le mouvement et la durée des plans. Un spectateur n'est "plus" habitué à des plans séquences.
Ainsi, le type d'outils, car ce sont pour moi des outils de fabrication et d'analyse, sont ceux qui me font souvent penser d'un film qu'il est mauvais.
Ouais, comme je disais, je savais pas trop comment tourner ma phrase. Le fait est que ça partait d'une incompréhension et que je trouve ça dommage. C'est tout.
Et pour la connaissance de la notion de surcadrage :
>> j'ai eu 13 ans de vie cinéphage qui se sont très bien déroulées sans ça alors...
Ouais, mais à force de trainer sur les forums, de lire des critiques ou à la suite de sujets comme celui ici présent, ça me donne non seulement l'envie d'en savoir d'avantage, mais également le sentiment que je loupe peut-être quelque chose dans certains films en n'ayant pas un minimum de culture technique sur le sujet. On peut effectivement vivre sans, mais on ne doit pas être plus mal avec. Car après tout, si le cinéma est un langage, on ne doit pouvoir bien le comprendre que si on l'a un minimum appris, non ?...
Alors en y repensant sandwich en main (ça aide), j'me disais comme ça que vous sauriez bien me conseiller un petit bouquin sur le ciné et ses techniques de narration et de mise en image, si ça existe. Pas le gros truc super technique avec tout comment qu'on fait pour faire un film mais un honnête bouquin de vulgarisation au sens noble, histoire d'aquerrir quelques clefs de compréhension supplémentaires face à des films relevant d'un "7ème art".
>Ordell, enlève tes mouffles !... ^__^
Non, ça me permet de frapper sur le clavier toujours aussi vite malgré le froid et donc de maintenir mon rythme rayon critiques en hiver...
"CM2 = "cours moyen 2ème année", pour des enfants de 10 à 12 ans, environ ; dans le système scolaire français, c'est la 5ème et dernière classe de niveau primaire, juste avant l'entrée au collège (niveau "middle school" à ne pas confondre avec la notion de "college" nord-américaine). "
Ah maintenant tout est claire. Je ne comprennais pas pourquoi tant de bruits soudainement!!!
J'ai été dans une école de ciné mais j'ai pas terminé. J'ai aucun complexe et je ne me sens ni inférieur ni supérieur. Et les explications et analyses de l'un et de l'autre ne me dérange pas.
Je me souviens d'une interview de Suzuki (sur l'un des DVD Criterion). Il disait "y a pas de grammaire au cinéma!". En gros, tu fais ce qui te plais. Si le sur cadrage veut dire cecis dans un film peut-etre est-ce différent dans un autre.
Mais j'aime les analyses car il y a débat et qui dit débat dit avancement des choses. Donc tout cela ne me dérange pas.
Mais faut dire que j'avais pas compris la remarque CM2
In the process of learning new languages, I often deal with new words and expressions that either have no analogue or mean something completely different from what I thought they meant. As a rule, the main part of language learning, and I'm studying Chinese now with a tutor. But in my free time, the promova chinese app is the best way to learn new words, meanings and other important information to improve my language skills.