Un Stephen Chow décent pour le nouvel an, mais sans surprises
La carrière de Stephen Chow a pris un tournant avec
Shaolin Soccer et son succès international.
Kung Fu Hustle a confirmé ce virage, plus de moyens, plus d'effets spéciaux, un humour plus international et moins typique.
CJ7 s'inscrit pleinement dans cette évolution. Plusieurs années séparant cette comédie de son prédécesseur, l'attente était assez importante. Hélas, il faut bien se rendre à l'évidence, le film n'est qu'un film pour les fêtes, un Stephen Chow tout à fait correct même si évidemment moins délirant que ses films des années 90. Rien de plus, d'où une certaine déception après une si longue attente. Mais sorti de ce contexte, le film se regarde bien et garde tout de même une certaine touche Stephen Chow.
Kung Fu Hustle gardait au moins un côté typique HK via ses combats d'arts martiaux. Ici on verse encore plus dans le gros film international, puisque les références locales sont encore plus réduites.
CJ7 aurait pu se dérouler dans plus ou moins n'importe quel pays. D'un autre côté, si l'humour non sensique cantonais (le mo lei tau) est ici relativement réduit, il reste tout de même un style Stephen Chow certes dilué, mais bien présent. L'arrivée de ce petit "animal" extraterrestre (appelé CJ7) étant notamment une idée parfaite pour permettre aux personnages d'être méchants bien gratuitement. Remplacez cet extra-terrestre par un humain ou un animal, et ça aurait été une immédiate montée au créneau de quelques associations pour protéger les chers bambins de ces images choquantes. Au contraire ici, on peut s'en donner à coeur joie. Rien de vraiment hilarant, mais plusieurs passages sympathiques avec ce personnage très maléable. Autre aspect assez "Chowien", les dialogues entre enfants qui remplacent ici les habituels adultes. Stephen Chow n'est qu'un rôle secondaire ici, c'est bien son fils le rôle principal. Mentions particulières au jeune acteur qui s'en tire étonnament bien, de même que son camarade de classe à lunette dans son rôle de fils de riche insupportable.
Le scénario n'offre autrement aucune véritable originalité, à part bien sûr la présence de cet extraterrestre. Quand on voit que cinq scénaristes ont travaillé sur le script, difficile d'en attendre des merveilles. Bien sûr il y a des éléments classiques dans la filmo de Stephen Chow, comme son personnage de pauvre tragi-comique, mais ce sont des redites et l'ensemble est calibré pour le nouvel an. Comprenez: bons sentiments, bons sentiments, bons sentiments. Il y a heureusement ces ajouts d'humour plus aggressif grâce à CJ7, mais globalement c'est très calibré. Pas forcément inefficace d'ailleurs, mais convenu de haut en bas. Même chose pour la réalisation et la musique, de bon niveau mais qui ne font aucune étincelle.
Au final, le film se regarde très bien comme gros divertissement familiale pour les fêtes. Mais il ne peut justifier les 4 ans qui le séparent de
Kung Fu Hustle. Stephen Chow a fait pire, c'est évident, mais pas en ayant autant de temps et d'argent sous la main. On est certe loin d'un catastrophe, mais on ne peut qu'attendre mieux de son prochain opus, même si l'orientation prise et les compromis qui vont avec ne peuvent conduire à un optimisme débordant.
Une amusante comédie fantastique pour tout public
Avec ses allures de produit formaté pour les enfants comme savent si bien faire les mecs chez Buena Vista (non non, je n'ai rien contre eux!), CJ7 est aussi divertissant que convenu jusqu'à la moelle. Stephen Chow "le sauveur" réapparaît sur les écrans après quatre ans de silence pour se la jouer faiseur de bobine acidulée et colorée comme un bonbon destinée à un public très large, peut-être trop, quand bien même les qualités ne manquent pas, l'absence d'originalité nuit gravement au projet ambitieux doté d'un joli buzz depuis sa mise en chantier, Stephen Chow oblige dont on attendait monts et merveilles. Mais dans le fond, ne boudons pas notre plaisir devant ce divertissement qui remplit son cahier de charge de la première à la dernière seconde : CJ7 est une petite bestiole pondue par un vaisseau spatial débarqué d'on ne sait où (et on n'en saura davantage), croisement improbable entre la gelée Flubber et un bichon, doté de pouvoirs surnaturels. Pour que le film soit un minimum attachant, Stephen Chow s'est armé de l'équipe des spécialistes de Menfond Electronic Arts , considérée comme la société d'effets spéciaux la plus douée d'Hong Kong et le résultat s'avère être tout à fait réussi dans la mesure où les gars ont réussi à imposer tout un panel d'émotions faciales au petit CJ7 pour le rendre criant de vérité. Doublement attachant, les personnages humains du film ont tous une véritable identité : Ti (Stephen Chow) est un père qui vit seul avec son fils, désireux que ce dernier réussisse ses études pour devenir quelqu'un, pour devenir autre chose qu'un pauvre ouvrier en bâtiment. Dicky, son fils, est le souffre douleur de sa classe parce qu'il est pauvre, sal, et bête (pour faire simple), incapable de réussir ses devoirs sur table parce que son père n'a pas les moyens de lui acheter des livres. Moqué voir conspué par ses camarades de classe avec à leur tête un petit garnement à lunette qui se voit déjà chef d'entreprise dynamique, Dicky trouve la pitié -l'amour- d'une fille au physique gargantuesque et de CJ7 qu'il découvre chez lui.
D'abord sous forme de boule en plastique rebondissante, la chose se transformera du fond de son placard en petit chien intergalactique aux mimiques absolument attendrissantes donnant lieu à quelques séquences d'une drôlerie absolument assumée : le duel CJ7/chien errant, le devoir sur table côté science fiction, la bagarre des "gros" dans un parc de la cour d'école lorgnant du côté de Sergio Leone et de Toriyama Akira et enfin, cette prise de bec tordante entre Ti et son chef de chantier à coup de tapettes sur la tête. Que dire aussi de la dégaine hallucinante du professeur de sport de Dicky et de son enseignant principal? Si l'humour fonctionne autant c'est parce que le traitement de la mise en scène fait que justement l'humour passe par la gestuelle des personnages, par leur attitude, leur charisme face à la caméra tout en souplesse de Poon Han-Sang qui délivre un véritable bouquet d'enchantement à chaque plan fourmillant d'idées visuelles. La fluidité est remarquable, les effets spéciaux sont bien incrustés à l'écran (ce qui n'était pas encore le cas avec The Host), la bestiole ne se distingue pas d'une autre et paraît même visuellement très impersonnelle au premier abord. Cependant si CJ7 divertit à un rythme d'enfer, Stephen Chow bassine un peu trop quant au message qu'il véhicule : se moquer des plus faibles et des plus pauvres, c'est mal. Travaille dur mon fils et tu seras un grand. Ne fais pas comme ton père, ne bosse pas dans le bâtiment. En grossissant le trait, évidemment. Mais en dehors de cette broutille, CJ7 c'est du niveau d'un film de commande américain distribué par Buena Vista, destiné au public ciblé par Buena Vista, mais il est filmé haut dessus de la moyenne Hollywoodienne, dans le genre. C'est à ça que l'on reconnaît un cinéaste important qui ne s'est, pourtant, pas vraiment foulé après quatre ans de silence.
A noter que le film est classé Catégorie II A, aussi hallucinant que cela puisse paraître.
Un peu gâché par certaines scènes passant de l'extravagance au ridicule dans la première partie.
Ça reste néanmoins un bon spectacle familial
Un petit pas pour l'homme…
Il y a beaucoup de pression à peser sur les épaules de Stephen Chow, suite aux succès internationaux de ses "Shaolin Soccer" et "Crazy Kung Fu". L'acteur et réalisateur en est conscient et tente de s'en dégager avec une pirouette – dommage seulement, que son tour sur lui-même n'est que très moyennement réussi.
"CJ7" est une coproduction avec l'américain BUENA VISTA, soit une filiale de Disney; pas question pour le hongkongais d'offusquer de trop ses financiers ricains et de décider de mettre en scène…un pur film pour enfants. Drôle de question pour celui qui animait d'antan l'équivalent HK de notre "Club Dorothée" national et qui – au fur et à mesure de sa filmo – n'a jamais caché sa relative aversion envers les petits bambins. "CJ7" est d'ailleurs tout entier imprégné de ce sentiment schizophrène: il s'agit certes à 100% d'un film pour enfants (et pour l'avoir "testé" sur un jeune public, la formule prend effectivement assez bien sur des enfants entre 8et13 ans; difficilement au-delà), mais des nombreuses scènes assez violentes envers les gamins témoignent d'un certain "défouloir" du réalisateur envers eux.
Ce curieux sentiment schizophrène se répercute d'ailleurs sur l'ensemble du film: ce n'est ni un film pour enfants, ni une vraie comédie, ni un film fantastique, ni un drame familial; ce serait plutôt un pot-pourri de divers genres assez bancal et très en-deçà des qualités de Stephen Chow réalisateur.
Il suffit d'ailleurs d'écouter els commentaires audio livrés sur la piste audio de la version française: à maintes reprises, Chow avoue avoir sacrifié des séquences entières au banc de montage ou raccourci l'une ou l'autre séquence, déséquilibrant singulièrement l'ensemble de son film et enlevant même toute raison d'être de certains personnages (surtout els deux "gros" enfants). Une surprise, peut-être, de la part d'un réalisateur, qui a pourtant déjà su faire ses preuves par le passé, mais finalement la preuve éclatante qu'en s'engageant sur ce projet, Chow était tiraillé entre plusieurs désirs et ne savait pas vraiment où il allait mettre ses pieds.
Ce qui est sûr, ce qu'il a voulu s'affranchir de son image de comic entertainer. Sans doute l'âge venant, il a voulu prouver qu'il savait également être un bon réalisateur sans forcément avoir à passer DEVANT la caméra. Il ne se destinait donc pas du tout au rôle du père à l'origine et aurait voulu ne pas apparaître du tout dans "CJ7"; mais son apparition lui aura permis de creuser une veine plus dramatique, à l'instar de ses premiers films et de re-mettre à son arc d'autres facettes de son talent; sauf qu'il s'est quand même retrouvé à son propre piège à trop vouloir se démarquer d'un seul coup: ne pas le voir faire son habituel numéro dans une comédie finalement pas très drôle n'aura pu que décevoir la plupart de ses fans – surtout occidentaux.
Car il faut tout de même avouer, qu'il n'aura pas tout cédé à ses coproducteurs ricains, "CJ7" étant profondément asiatique dans l'esprit. La différence des genres peut paraître curieux à un public non-averti, la plupart des gags entre scato et imitation manga (la première référence depuis toujours de Chow) sont difficilement exportables et l'extra-terrestre "prêt à décliner" sous toutes sortes de formes merchandising est parfaitement adapté au jeune public féminin oriental. Autant de détails, qui auront sans aucun doute motivé le distributeur français à ne pas oser une sortie sur notre territoire national (bien que je pense personnellement qu'avec une bonne campagne de pub juste avant des vacances scolaires, ce film aurait tout à fait trouvé son public et renforcé al future distribution en DVD).
Quant au public averti, il risque d'être déçu autant par l'étrange choix de Chow de passer à un second plan dramatique, que par le résultat extrêmement bancal de l'ensemble.
Un pas un peu indécis, dont seul l'avenir nous dira, si c'était un pas timide pour aller vers de l'avant et vers le départ d'une nouvelle carrière du talentueux acteur et réalisateur ou s'il s'est véritablement agi d'un faux pas.
Une comédie familiale pleine de vie.
Assez proche des thématiques habituelles de Stephen, "Cj7" est une suite logique de "kung fu hustle". La fibre sociale qui lui a toujours tenu à coeur est une fois de plus au centre de l'histoire. Encore plus effacé que dans son précédent film, Stephen acteur se réserve ici l'ensemble des scènes dramatiques pour laisser le devant du show à un jeune acteur très prometteur.
Ultra charismatique, ce petit porte le film sur ses épaules, dans un rôle très chowien. Comme si Stephen avait commencé à faire l'acteur avec son type de rôle à 7 ans. L'humour, très présent, et dans l'ensemble un peu moins délirant qu'à l'accoutumée, si on excepte le passage onirique totalement déjanté et hilarant.
Le récit se montre réellement touchant, comme l'était la description du village de "kung fu hustle", mais le divertissement est davantage ciblé grand public ici. Bien sûr il ne s'agit pas du film le plus drôle de Stephen, d'ailleurs ce n'est pas pour sa prestation d"acteur qu'il faut le regarder (même s'il joue très bien) car il ne participe que peu à l'humour. Reste une comédie familiale pleine de bon sentiments, très drôle malgré tout, qui permet de passer une bonne soirée. Et en plus c'est joliment réalisé!
A voir pour ce que c'est, un divertissement grand public, avec une petite touche d'émotion, une fibre sociale simple mais touchante, et un jeune acteur à surveiller. Plutôt enthousiasmant malgré tout!
Un chouette divertissement familial
Pour qui s'attend à un Stephen Chow dans la lignée de
King of Comedy,
Shaolin Soccer et
Crazy Kung-Fu, cette charmante comédie fantastique clairement destinée au jeune public risque de constituer une belle déception. Mais il suffit d'avoir gardé une part d'âme de gosse en soi et de passer outre l'aspect assez impersonnel de l'entreprise (n'importe quel tâcheron hollywoodien un tant soit peu consciencieux aurait pu faire ce film) afin de passer un bon moment devant son téléviseur. La plupart des gags fonctionnent très bien, le jeune Jiao Xu ne donne pas trop souvent l'envie de gifler de la marmaille, les petites touches d'émotion disséminées dans l'intrigue font leur effet, les CGI paraissent enfin moins cheapo qu'auparavant dans l'ensemble du paysage cinématographique HK et la musique de Raymond Wong, mêlant non sans bonheur compositions au style synthé 80's et thèmes plus classiques, s'écoute avec plaisir. Le fait que Chow mode comédien se révèle un peu en retrait par rapport à l'histoire pose moins de problème qu'on aurait pu le penser. Cela dit, on n'attend plus que ce bon vieux Stephen se lâche à nouveau dans l'une de ces grandioses pantalonnades dont lui seul a le secret...
CJ7 se démarque dans la filmographie de Stephen CHOW. Le film n'est pas centré sur lui, c'est clairement destiné "tous publics", mais un peu plus pour les enfants. Néanmoins le film est agréable et touchant, c'est un peu pauvre niveau contenu et gags mais ça passe tout seul.
L'infographie est ici assez justifiée, il faudrait que Stephen CHOW passe à autre chose maintenant, et nous ressorte un nouveau métrage débile et rempli de gags comme il sait le faire.
Bref ne vous attendez pas à son numéro habituel, on retrouve pas mal d'éléments typiques mais ce n'est pas du Mo lei tau.
Aucun intérèt...
Où est donc passé le Stephen Chow qui me faisait tant rire? A force de vouloir plaire aux ricains, Stephen finit par baisser son froc et nous livre un film sans intérêt, qui ne fait rire personne, si ce n'est la tranche d'âge inférieure à 4 piges.
Pour faire court, ce film est une pure merde pour quiconque connait un peu la filmo du monsieur et son potentiel. C'est mal construit, rien n'est développé dans l'histoire: la bestiole sort de nulle part, on se sait pas ce qu'elle fout ici... le message est gnan gnan a souhait, limite condescendant... Certains diront que les effets spéciaux sont bien fait, ce à quoi je réponds qu'ils sont carrément inutiles pour la plupart dans le film. Les capitaux américains n'ont fait que tuer la créativité de l'auteur; c'est un film paresseux qui peine à installer une histoire (s'il y en a une) et à la développer. J'ai l'impression que Chow est tellement désireux de se faire connaitre en Occident qu'il finit par "prostituer" son travail pour en répondre aux codes. Comme je l'ai dit plus haut, ce film fonctionne si on a 4 ans mais sinon, on a comme une vilaine sensation de foutage de gueule.
Quand on connait un peu les films que le monsieur a réalisés ou dans lesquels il a joué (même si on trouve du bon comme du moins bon), quand on connait le potentiel comique et l'étendu du talent de l'homme, on ne peut être que franchement dégouté à la vision de ce pauvre film qui, à mon sens, ne défend rien: c'est un film impersonnel en tout point baigné dans de la sauce contrefaçon Disney! Bons sentiments à gogo, gags qui tombent à plat et qui frisent voir qui atteignent le ridicule, présence féminine qui, depuis quelques films chez Stephen, n'apporte strictement rien à l'histoire parce qu'il ne sait pas comment la gérer (les histoires d'amour, c'est pas son fort, seulement King of Comedy prouve le contraire)...
Je suis pourtant un très grand fan de Stephen Chow, mais le voir "impliquer" dans des projets sans intéret comme celui ci, à la botte des capitaux américains, me désole profondement. Tout ce qui fait le charme d'un Stephen Chow, à savoir le comique de situation, le non sens, les dialogues... Tout ça à disparu au profit d'un rendu insipide, neutre, impersonnel...
CJ7 est un film à foutre à la poubelle... J'espère que Stephen Chow se reprendra mais aux vues de ses récents films, je me permets de douter...
Stephen Chow réalise une comédie commerciale pour les enfants, tout en conservant un peu de sa touche personnelle, plutôt réussi dans le genre.
pas mal
Encore un film de Stephen Chow qui comme d'habitude est bien marrant. Part contre, côté humour stupide, ça ne vaut pas un shaolin soccer mais très amusant quand même.
ça fait quelques films maintenant que Stephen Chow joue le pauvre gars qui n'a rien dans la vie, donc ça change pas de d'habitude, mais personnellement, je ne pense pas que ce soit un problème.
Sinon, le casting n'est pas impressionnant du tout, seulement 1 ou 2 têtes connues, mais les acteurs jouent vraiment bien alors finalement c'est pas plus mal.
Donc un bon film de Stephen Chow, même si je trouve qu'il a déjà fait mieux!!
Grosse déception
Stephen Chow acteur reste sympathique, mais Stephen Chow réalisateur devient de plus en plus barbant. Ce film ci est visuellement très beau, mais l'histoire est franchement ennuyeuse et sans la moindre surprise. Contrairement a d’autres, je préfère retourner avec plaisir a un réjouissant Magic Crystal.
Un petit film fort sympathique, qui, hélas (!), ne marquera pas les esprits...
Peut-être que les fans de
SHAOLIN SOCCER et KUNG FU HUSTLE - 2 pépites ! - seront un peu déçus (ou pas), enfin, disons qu'il ne faut pas s'attendre au même genre de film. Pour faire super court, y'a moins d'action dans Cj7, et plus d'émotions ! Perso j'ai plutôt bien aimé, bien qu'il s'oublie très vite... Je vous le conseille.
Agréable
En tant que pré-ado j'aurais adoré découvrir ce film tant les paramètres sont nombreux pour séduire ce public en particulier quand une bonne partie est tournée dans une école. Mais voilà le film est sorti cette année et il est dur pour un fan de Stephen Chow d'accepter que ce dernier ne fasse aucun écart. Pas de fous rires à l'horizon mais une folle envie de faire découvrir le film aux tout petits !
Mignon...
Un film différent des autres productions avec
Stephen Chow mais qui a au moins la particularité d'être touchant. Même s'il est davantage axé pour les gamins, le film possède quelques moments drôles. Le jeune casting y est pour beaucoup.
En tout cas c'est mieux que
Magic Crystal du bouffon
Wong Jin.